Violence en amérique latine
Situation générale :
* pas de guerres entre États * gouvernée pour l’essentiel par des régimes démocratiques
MAIS
* une des régions du monde ou la violence est la plus présente
Changement dans la violence :
Avant :
* la violence qui résulterait d’un pouvoir autoritaire * la violence qui résulterait d’un conflit armé entre un gouvernement et un acteur armé contestataire
Aujourd’hui :
* tout un ensemble de manifestations extrêmement diverses
Andres Oppenheimer (journaliste) « guerre civile non déclarée »
Les institutions démocratiques et les sociétés politiques ne sont pas directement menacées par un acteur politique qui utiliserait la violence contre elles.
MAIS
Les institutions démocratiques et les sociétés politiques sont extrêmement fragilisées par le fait qu’elles ne sont pas en mesure de garantir leurs citoyens contre d’actes de violence.
Pas de seule forme de violence politique, mais une multiplicité de fromes de violences qui ont des incidences sur le politique.
« La violence engendre la violence »
La qualification de ce qu’est un acte violent est largement soumis à l’interprétation des acteurs :
* les dirigeants politiques peuvent ainsi contester la légitimité de leurs adversaires ou d’une mobilisation collective en la qualifiant de violente * alors qu’ils vont utiliser eux-mêmes des outils violents contre leurs propres adversaires.
Les acteurs et les formes de violence
1. ‘A cause de tension politique
Les guérillas révolutionnaires : acteurs qui y ont eu recours en invoquant des revendications de type politique, de prise du pouvoir, ou de déstabilisation des institutions de type politique.
L’inscription sur le long terme de la lutte armée de ces organisations a eu des répercussions importantes en leur sein.
Leurs principales sources de financement proviennent quasi exclusivement du trafic de drogue et des enlèvements, qui a contribué