Vipère au poing
Deux regards celui d’un garcon et celui d’un narrateur se combinent dans le texte. On peut dire il y a un jeu de focalisations.
La focalisation zéro ou il développe les interventions du narrateur. Le recit opère de nombreux va-et-vientdans le temps et l'espace. Il se confond avec l'auteur.
Focalisation interne ou il rapporte les paroleset les pensées austyle indirect libre. On utilise de nombreux verbes deperception. Il donne une vision subjective du temps et de l'espace. Il se confond avec un ou plusieurs personnages.
Le garcon et le narrateur c’est la meme person – le Brasse-Bouillons. Le narrateur se souviens et analyse la premiere rencontre avec sa mere.
Rappelés par télégramme, M. et Mme Rezeau mirent huit mois à rentrer.
Nous pouvons dire que c’esr du regard de narrateur que est deja adulte et a la possibilite d’analyser la situation. En meme temps on ne peut pas dire que ce sont les mots de l’auteur. Comme le narrateur est un mediateur, il habite l’univers du roman et il est affectivement attache par differance avec l’auteur.
L’auteur utilise les temps, le style, les tournures syntaxiques pour exprimer les deux regards differants meme dans une seule proposition en creent le dynamism et l’ampleur du texte.
La premiere partie de la proposition appartien au narrateur avec son regard serieux et un peu sarcastique (Notre mère, satisfaite). Mais la partie suivante montre une description photographique (découvrit deux dents d’or).
Un autre example de ce jeu de focalisations presente dans la description de M. Reseau.
La fin de cette tirade s’adressait à un monsieur ennuyé, que nous sûmes ainsi être notre père.
Nous pouvons ressentir ici une note de sarcasme envers leur pere. Dans la proposition suivante il y a le regard de garcon. Il est stupéfait avec les chaussures et la taille de nez de son pere. De nouveau il y presente la description photographique de garcon.
Il portait un grand nez et des bottines à boutons.
Mais en meme temps le