Voyage au bout de la nuit, céline, commentaire
Le narrateur est victime d’un assaut, il décrit même que « Ces Allemands[…] tiraient mal, mais ils semblaient avoir des balles à en revendre, des pleins magasins sans doutes ». Ici, l’auteur cherche à nous montrer une sorte de violence sans fin, le narrateur se retrouve au milieu d’un assaut qu’il défini d’interminable , comme si il n’y avait pas d’issus possible fasse à toutes ces munitions qui mènent vers la mort. Ainsi, l’auteur insiste sur les morts provoqué lors de la guerre comme le montre cette phrase « ces soldats inconnu nous rataient sans cesse, mais tout en nous entourant de milles morts, on s’en trouvaient habillé …afficher plus de contenu…
Il n’aimait déjà pas la campagne comme il le dit explicitement «Moi d’abord la campagne […] je n’ai jamais pu la sentir », mais il rajoute qu’avec la guerre c’est encore pire. Ici, l’auteur met en valeur le coté péjoratif de la guerre, celle ci n’embellit pas la campagne, au contraire elle la détruit. En effet, l’auteur mellera ensuite cette nature avec la guerre, pour cela il utilisera des mots qui font référence à la guerres comme « Rafles, bruits sec » dans cette phrase «Les peupliers mêlaient leurs rafales de feuilles au petits bruis sec qui venait de la bas sur nous ». Enfin, le narrateur montre la violence extrême qui est faites pendant la guerre : la mort. Dans un second temps, on remarque que le texte montre la déshumanisation des hommes qui font la