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1195 mots 5 pages
Cette superposition des plans conduit Corneille à contourner la règle des trois unités en vigueur pour l'écriture de chaque pièce de théâtre : une même représentation devait tenir en une journée, dans un seul lieu, autour d'une seule intrigue. Or, l'Illusion comique conteste les trois règles. En effet, l'unité d'intrigue n'est pas respectée puisque Corneille double le motif du père recherchant son fils du motif de la pièce de Clindor, qui est une intrigue fallacieuse. L'unité de temps se voit aussi distendue, par le bond que font Clindor et Isabelle dans le temps, après leur fuite. De même, ils arrivent dans un autre lieu à la fin de la pièce.
Cette unité de lieu est plus encore complexifiée, car l'on pourrait penser qu'un seul lieu est véritablement présent, la grotte d'Alcandre ou le théâtre. De même, l'unité de temps est paradoxalement respectée, puisque le temps de référence est celui de Pridamant et du spectateur. Enfin, l'unité d'intrigue resterait intacte puisque la pièce en elle-même porte sur la retrouvaille du père et du fils - retrouvaille qui n'est retardée que par la narration des hauts faits de Clindor, qui s'avèrent être fictifs.
Corneille joue donc sur ces unités pour les contourner tout en les respectant et ce, grâce à la nature même de la représentation théâtrale. Il représente ainsi la puissance Cette superposition des plans conduit Corneille à contourner la règle des trois unités en vigueur pour l'écriture de chaque pièce de théâtre : une même représentation devait tenir en une journée, dans un seul lieu, autour d'une seule intrigue. Or, l'Illusion comique conteste les trois règles. En effet, l'unité d'intrigue n'est pas respectée puisque Corneille double le motif du père recherchant son fils du motif de la pièce de Clindor, qui est une intrigue fallacieuse. L'unité de temps se voit aussi distendue, par le bond que font Clindor et Isabelle dans le temps, après leur fuite. De même, ils arrivent dans un autre lieu à la fin de la pièce.
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