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gmenté à cause du ralentissement de la croissance : les taux de croissance du PIB sont certes restés positifs, mais leur niveau moyen est passé d’environ 5% à 2%. Cela conduit à envisager le chômage comme un problème essentiellement économique, dont la solution nécessiterait avant tout de trouver les moyens d’accélérer la croissance. Mais le chômage n’est-il pas d’abord un problème social ? Le travail, c’est-à-dire la participation à l’activité productive en échange de revenus, n’est-ce pas ce qui peut rendre les individus solidaires, autrement dit ce qui assure la cohésion sociale ? Le problème posé par le chômage aujourd’hui, n’est-ce pas ainsi qu’il fragiliserait les liens sociaux, ce qui pourrait justifier d’y chercher des réponses ailleurs que dans le domaine économique ?

I.- Le travail conduit les individus à coopérer et à se situer les uns par rapport aux autres

A) Selon Durkheim la solidarité sociale repose sur la division du travail

1. La "solidarité mécanique" (définition...) n'est pas adaptée aux sociétés nombreuses.

2. L'autre forme de solidarité possible, la "solidarité organique", repose sur la division du travail (explication...)

B) Le travail contribue à l'identification des individus les uns par rapport aux autres

1. Les individus sont reconnus socialement notamment en fonction de leur profession (on "est" boulanger, chercheur, enseignant, chef d'entreprise, agriculteur, ouvrier, employé...)

2. Les revenus du travail donnent accès à la consommation, autre facteur de positionnement social (on "est" un de ceux qui roulent en Mercedes, ou qui portent telle marque de chaussures de sport, etc...)

II.- Malgré les conséquences négatives de la montée du chômage, le travail reste en tête des facteurs de la cohésion sociale

A) La montée du chômage remet partiellement en cause la solidarité sociale

1. Elle est un facteur d'anomie (définition...) : exclusion/perte d'identité de certains

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