L'apologue
Préface,
Fils d'un maître des Eaux et des forêts champenois dont il reprend la charge, écrivain français du 17éme siècles, il reste attaché jusque dans son œuvre aux décors champêtre de sa campagne. Il est reconnu par la cour est ses contemporains grâce à des contes licencieux (qu'il reniera à la fin de sa vie) et surtout à ses fables. C'est donc avant tout chose un grand fabuliste, qui s'adresse à un public élargi, responsabilité de pédagogue.
Ses fables sont divisé en 12 livres, livres de 1 à 6 parus en 1668, livres de 7 à 11 en 1678 et le livre 12 en 1694, o,t immortalisé son nom. Des fables essentiellement animalière jusqu'au livre 6 puis les animaux et les humains cohabitent ensemble, philosophie.
Extrait de la préface de 1668, qui a la souci de promouvoir (présente l'œuvre et explique son sujet), prose, défense, il essai de faire valoir. Extrait situé au cœur de la préface, très lié, enchaîné. « Ce que je dit » : il exprime. C'est un texte démonstratif : apologue, un art merveilleux, il montre l'utilité de la fable.
Demandons nous maintenant comment s'y prend-t-il pour faire ressortir les qualité de l'apologue ?
I Comment valorise-t-il sa thèse (analyse, présentation, développement) :
a) sa thèse (ligne 23/24) :
Les fables ont une qualité supérieur/suprême : « quelque chose de divin ».
Dithyrambique. Il a un projet clair net : rétablir la grandeur de l'apologue au nom de la justice.
b) développement de sa thèse :
Il compare l'apologue avec quatre autres formes d'expressions très valorisées traditionnellement et historiquement.
Avec la parabole (ligne 5/9) : points commun une petite fable (fabuleux), un méthode très efficace, souplesse finesse sorte de fluidité de la parole, du propos ligne 6/7 : genre efficace, sacré donc intouchable.
Avec le métonymie (ligne 14) : étroitement lié, très bref, concis (genre/légende épique : Homère) plus mitigé, une critique donc l'apologue en tire les bénéfices, reproche voilé au texte