L'europe de 1914
L’Europe historique se calque sur l’Europe géographique
L’Europe en tant que telle est le fruit d’une histoire riche de culture et de barbarie.
C’est le troisième peuplement de la planète après la Chine et l’Inde.
L’Europe ressemble à un tableau impressionniste qui allierait ruralité, paysages maritimes et constructions urbaines dans un espace plutôt réduit et de ce fait fragile.
C’est aussi, et cela tient, sans doute aux trois premiers éléments, le pôle le plus prospère de la planète et sans doute le plus équilibré.
En la matière, le Conseil de l’Europe (Qu’il ne faut pas confondre avec le parlement européen) dont le siège se trouve à Strasbourg est le ferment d’unité en tant que lieu de convergence des 44 états qui compose le sous continent Eurasien. C’est dans ce lieu symbolique que l’Europe historique est susceptible d’être rejoint par l’Europe Géographique. Pour beau coup cette idée est et doit rester un mythe liée à sa naissance. (le mythe de Europe enlevée par Zeus).
I – L’Europe reste le produit d’une histoire plusieurs fois millénaire follement complexe.
A – L’Europe se présente comme uns espèce sans limite (Ce qui ne veut pas dire illimité) (Pages 14, Document 1a )
De la légende de la belle Europe, enlevé par Zeus changé en taureau, et devenue mère de Minos, jusqu’à la colombe portant le rameau d’étoiles (Document 4, Page 81) , l’Europe se décline suivant des variations liées aux intérêts des uns ou des autres.
Le cailloux jeté par Zeus dans la mer Egée continue de faire des remous dont les cercles concentriques ne cessent de s’agrandir engobant sans cesse des terres de plus en plus nombreuses, de plus en plus éloignées et disposant de moins en moins d’histoire commune.
La complexité européenne tient à sa position de Finistère du continent asiatique, une espèce de passage obligé en forme d’entonnoir vers le lequel se précipitent tous les peuples qui courent après le soleil.
B – Malgré des différences culturelles marquées, l’Europe