L'or - blaise cendrars
1. Références Biobibliographiques
A. CENDRARS Blaise, L’OR, Denoël, Folio,
B. Biographie de l’auteur :
Blaise Cendrars, pseudonyme de Frédéric-Louis Sauser (1er septembre 1887 — 21 janvier 1961), est un écrivain d'origine suisse, naturalisé français en 1916.
Très tôt, il a placé son œuvre sous le signe du voyage et de l'aventure. Dans sa poésie comme dans ses œuvres en prose (romans, reportages, mémoires), l'exaltation du monde moderne se mêle chez lui à la volonté de se créer une légende où l'imaginaire se mêle au réel de façon inextricable.
Engagé dans l'armée française comme volontaire étranger, il participe à la Première Guerre mondiale. Le 28 septembre 1915, il perd au combat sa main droite, sa main d'écrivain, amputée au-dessus du coude. Cette blessure marque profondément l'œuvre de Cendrars. En lui faisant découvrir son identité de gaucher, elle a bouleversé son rapport à l'écriture.
Œuvres principales : * Les Pâques à New York (Poésie, 1912-1919) * Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France (Poésie, 1913) * L'Or (Roman, 1925) * Moravagine (Roman, 1926) * Bourlinguer (récit autobiographique, 1948)
C. Genre littéraire :
Roman d’aventure.
2. Résumé
Suisse, 1834. Johann August Suter, 31 ans, pauvre, veut de l'or. Il quitte sa famille, son pays et part pour l'Amérique, prend le bateau et débarque à New York. Là-bas, il exerce différents métiers afin de pouvoir se nourrir et se loger. Puis il part pour la Californie. En route, il découvre l’Amérique, ce continent qui fait tant rêver. Il s’établit quelque temps à St-Louis et écoute les nombreuses histoires des voyageurs qui passent par chez lui. Tous parlent de la même chose : De l’Ouest. Il reprend la route avec quelques connaissances. Petit à petit, tous le monde part ou meurt, et il se retrouve seul. Il décide de poursuivre son chemin par la mer car la route qui mène en Californie est trop dangereuse. Il continue son chemin