L'albatros
Quand « L'Albatros » apparaît pour la première fois dans ce poème, il est décrit comme un « vaste(s) oiseau(x) de mers » v. 2 ou alors à un « si beau » oiseau v.10. A ce moment, « l'Albatros » est alors mit en valeur par rapport aux « hommes d'équipage » v. 1, qui ne pense qu'à « s'amuser » v.1. Il y a dans ce poème, une réification quand le poète compare les « grandes ailes blanches » v.7 de l'oiseau, a « des avirons » v.8. Le poète insiste aussi sur le pouvoir des « Albatros » en les décrivant comme des « rois » v.6 Pour le moment « l'Albatros » est décrit de manière méliorative, ceci n'est pas le cas dans le reste du poème.
Baudelaire, choisit par la suite de parler de « l'Albatros » de manières très péjoratives. Ça commence avec les adjectifs « maladroits et honteux » v.6 qui décrivent les « Albatros ». Le poète, fait ensuite une comparaison entre l'oiseau quand il vole « si beau » v.10 et quand il est sur le pont du bateau « comique et laid » v.10. Le poète décide d'aller encore plus loin en parlant de l'oiseau de manières encore plus négatives « en boitant, l'infirme » v.12. Il montre que quand l'oiseau est « exilé sur le sol » v.15 et qu'il est « au milieu des huées » v.15, même avec « ses ailes de géant » v.16, il est pour lui impossible « de marcher » v.16. Ceci est une manière de dire que même s'il a des ailes magnifiques qui l'aide à voler, elles