L'avare de molière
Scènes importantes :
Acte I, scène 2 : Cléante, l’opposé de son père :
« Figurez vous, ma sœur, quelle joie ce peut être que de relever la fortune d’une personne que l’on aime ; que de donner adroitement quelques petits secours aux modestes nécessités d’une vertueuse famille »
Acte I, scène 3 : Harpagon se reconnait en tant qu’avare, se sent concerné. LA FLECHE « M’empêcherez vous de maudire les avaricieux ? » HARPAGON « Non ; mais je t’empêcherai de jaser et d’être insolent. Tais-toi » LA FLECHE : « qui se sent morveux, qu’il se mouche »
Acte I, scène 4 : Les avares ne sont jamais satisfaits de ce qu’ils ont
« Comment ? J’ai assez de bien ! Ceux qui le disent ont menti. Il n’y a rien de plus faux ; et ce sont des coquins qui font courir tous ces bruits là »
Acte II, scène 4 : « Il aime l’argent plus que réputation, qu’honneur et que vertu » La Flèche à Frosine
Acte III, scène 1 : Harpagon apprend ce qu’on dit de lui derrière son dos et le prend mal
« vous êtes la fable et la risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les noms d’avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu »Maître Jacques
« Vous êtes un sot, un maraud, un coquin et un imprudent »
Acte IV Scène 7 : Monologue d’Harpagon lorsqu’il se rend compte que sa cassette a disparu :
« Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent »
« Hélas ! Mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami ! On m’a privé de toi ; et puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire au monde : sans toi, il m’est impossible de vivre. C’est en fait je n’en puis plus ; je me meurs, je suis mort, je suis enterré »
« si je ne retrouve pas mon argent, je me pendrai moi-même après »
Acte V, scène 3 : Quiproquo lorsque Harpagon croit que Valère lui a volé sa cassette et que Valère pense que ses sentiments pour Elise ont été découverts :