L'education sentimentale
1840. Frédéric Moreau était inscrit à la faculté de droit de Paris. Avant que les cours ne commencement, il se rend chez sa mère à Nogent. Frédéric était un fils de la famille noble mais n’étaient pas très riche. Sa mère l’avait envoyé au Havre voir son oncle, dont elle espérait, pour lui l’héritage; il en était revenu la veille seulement, et il se dédommageait de ne pouvoir séjourner dans la capitale en regagnant sa province par la route la plus longue. Durant le trajet en bateau, il rencontre M. Arnoux et sa femme, dont il tombe amoureux sur le champ.
Frédéric retrouve Deslauriers, un ancien camarade de collège. Avec enthousiasme, ils imaginent leur avenir. Mais Frédéric était fantaisiste et sentimental, Delauriers était très ambitieux et également voulait etre très riche.
Frédéric reve de Mme Arnoux. İl essaye d’entrer en contact avec les Arnoux et les Dambreuse, des bougeois mondains, en vain. Le jeune homme fréquente deux autres étudiants, Martinon et M. De Cisy et des autres ses amis Dussardier, Sénécal mais il n’était pas heurex. Toujours il la pensait. İl dépensait beaucoup de l’argent parce qu’il a du entrer dan la vie communautaire. İl était diplomé très difficile. İl ne voulait pas rétourner à lieu que sa mère avait vecu. Sa mère voulait qu’il soit un bureaucrate.
L’occasion de manifestations étudiantes, Frédéric fait la connaissance d’Hussonet et de Dussardier. Par l’entremise d’Hussonet -qui travaille pour l’Art Industriel, un journal dirigé par Jacques Arnoux- Frédéric parvient à revoir Mme Arnoux. İl rencontre également Régimbart et Pellerin.
1842-1843 l’idée de conquérir Mme Arnoux obsède Frédéric. İl est recalé aux examen. Frédéric et Deslauriers croisent Jacques Arnoux en compagnie d’une de ses maitresses probables, la Vatnaz. S’étant remis au travail, Frédéric reussit ses examens. Mais, apprenant que sa fortune est dilapidée, le jeune homme se résigne à vivre en province.
Frédéric truve un emploi et fait la