L’esthétique de Kant se développe de contradiction en contradiction et s’achève en véritable énigme comme si la beauté était enfouis dans les profondeurs de la subjectivité humaine . Pourtant il ne faut pas s’en tenir a une telle conception équivoque de l’esthétique . Kant n’a pas présenté ces contradictions de manière objectifs , mais il est vrais quel l’énigme central concerne le rapport entre la spontanéité et la règle aussi bien dans la création artistique que dans le gout . Mais pourtant on ne peux ni créer ni juger sans règles . Il semble que le chefs d’œuvre du gout ne sont que les cas particuliers d’une règle universelle que l’on ne peut pas déterminer . La détermination des modèles du beau ne correspond pas a la recherche d’une beauté idéal , mais plutôt a un idéal a de beauté . il faut donc définir le gout comme la faculté de juger un objet conformément a la légalité libre de l’imagination . Or une légalité libre est une liberté sans voix , or cet être libre se doit d’obéir a une lois que l’on s es fixer soit même . L imagination est dans l’incapacité d’énoncer quelques règles que ce soit , seul l’entendant peut y parvenir . Si c’est lui qui donne les règles , alors le beau devient le bon . Bien que l’art ne soit pas une connaissance de la vérité , il peut être définît comme la mise en forme sensible d’un contenu . Seul le contenu représente le fil conducteur dont la pensée a besoin pour comprendre une œuvre d’art , et établir une classification des beaux arts . En effet , le contenu constitue un élément fixe , stable qui donne prise a une organisation conceptuelle . Mais une théorie sur l’art doit rester esthétique et ne doit pas séparer le fond et la forme pour revêtir . Les progrès de l’art et de son épanouissement doivent laisser apparaître un contenu , indissociable de l’histoire d une civilisation , dont l’art est précisément l’expression esthétique . L’art est donc la conscience d’une civilisation immédiatement perceptible par les sens .