Exposé sur l’hypocrisie présente dans le Père Goriot.
I. Enumération des sujets liés à l’hypocrisie dans la société parisienne du XIXe siècle.
Dans son œuvre « Le père Goriot », Balzac souhaite exposer à une société, elle-même sujette à controverse, une société qui dépeint les travers d'une époque dans laquelle ses habitants se différencient par un infime écart de niveau social mais qui finalement sont semblables de par leurs emplois exagérés des clichés du défaut parisien.
On retrouve en chacun des personnages, différentes illustrations de l’arrivisme (Rastignac), de l’opportunisme (Vautrin), de la vénalité (Anastasie et Delphine) ou encore de l’immoralité (Les amis de Mme de Beauséant lors de sa ruine).
II. Détails de l’hypocrisie intra-muros.
Vautrin
Dans le livre, de nombreuses démonstrations de l’hypocrisie parisienne ont lieux à l’intérieur même de la Pension Vauquer.
Lorsque Vautrin exerçait ses prétendues démonstrations envers Mme Vautrin, c’était évidemment uniquement dans le but de la flatter afin de bénéficier de quelques privilèges, ce dernier proposa d’ailleurs un pacte exécrable à Rastignac dans le but d’empocher 200 000 francs de la dote de Victorine.
Pension Vauquer
Bien avant le début du roman, lorsque le Père Goriot venait d’emménager à la pension, il bénéficiait d’une bonne image auprès de Mme Vauquer car il occupait la meilleure de ses chambres ; après avoir déménagé d’étage en étage, occupant ainsi la plus misérable des chambres de la pension, il fut l’objet de nombreux commérages et rumeurs auprès de la quasi-totalité du pensionnat (Rastignac n’eut pas pour intérêt d’y prêter attention).
III. Détails de l’hypocrisie extra-muros.
A l’instar des pensionnaires de la maison Vauquer, les personnages de la société mondaine parisienne font également preuve d’hypocrisie les uns envers les autres.
Tout au long du livre, les filles du père Goriot n’ont aucun problème à accepter l’aide de leur père mais ne lui témoignent aucune affection