L'impossible réinsertion des détenus
Prisons. Le contrôleur s'inquiète des difficultés de réinsertion des détenus
La parution de la nouvelle loi pénitentiaire nous pousse à nous interroger sur la pauvre qualité de la réinsertion des détenus d’aujourd’hui, les changements récents et les solutions mises en œuvres afin de progresser dans cette voie. L’article choisi permet une large argumentation sur ce système puisqu’il parle de nombreux points concernant la prison. Dans un premier temps, il serait utile de rappeler certains détail relatif à la détention, puis de commenter certains points du texte, afin de proposer un constat concernant ; voir consternant ; sur les prisons française, puis de tenter d’analyser les solutions et changements récents concernant le milieu pénitentiaire afin de dégager les problématiques liées à ce milieu.
Il s’agit d’un texte relativement récent, publié en Mars 2010 dans le télégramme, qui est un groupe multimédia s’articulant autour de trois grands pôles d’activité : la presse édition, la publicité et communication ainsi que l‘Internet et l’audiovisuel.
La parution récente de ce texte permet une vue globale actuelle du monde carcéral et prend en compte la dernière loi pénitentiaire, publié en Septembre 2009. Tout d’abord, voici quelques rappels liés à cet article. En France aujourd’hui on compte 56 419 places en détention, pour 62 113 personnes incarcérées, soit une surpopulation de 110%. Parmi ceux-ci, 10 établissements atteignent une surpopulation de 200%. Depuis le 1er Janvier 2010, on compte plus de 100 suicides au sein des établissements pénitentiaires. Avant tout, il me semble important de définir le rôle du Contrôleur Général des Lieux de Privation et de Liberté (CGLPL), cité en début d’article. Il s’agit d’un poste récent, crée en 2008, et occupé actuellement par Mr JM Delarue. Son but est de veillé à ce que les personnes privées de liberté soient traitées avec humanité et dans le respect de