L'intelligence artificielle
A. L'évolution des composants.
Les machines pour paraitre intelligentes demandent une certaine puissance, cette puissance peut être néanmoins fournie par un matériel approprié à la machine, comme une pièce maitresse du programme qui est le processeur qui permet de traites des données numériques sous forme binaire.
Durant l’apogée de l’informatique dans les années 70, les ordinateurs effectuaient 1 millions d’instruction par seconde, ce qui n’est rien comparé au chiffre d’aujourd’hui : Un ordinateur peut effecteur plus de 10 milliards d’instruction par seconde. Ce chiffre est assez faible par rapport a l’intelligence humaine qui reste inégalable jusqu’à présent. Ce type de réflexion intéresse notamment un enseignant chercheur en robotique nommé Hans Moravec qui pronostique qu’en 2050 l’intelligence des robots sera comparable a celle de l’homme.
L’évolution du microprocesseur depuis les années 1970 est fulgurante, d’année en année les chercheurs innovent dans ce type, on remarque que le processeur le plus ressent peut avoir fréquence de calcul de 3.9GHz et de 6 cœurs, c'est-à-dire 6 unités de calcul lancé en même temps. Soit une fréquence de 23.4 GHz et d’une puissance de 32Gb ce qui est loin d’être les performances des premiers microprocesseurs qui n’avait que une unité de calcul de 4 bits, cadencé à 108 kHz, cette évolution des composants permet une évolution de la qualité des programmes dirigeant les machines et donc leur « intelligence ». Cette évolution est due à la taille de gravure des transistors, alors que les transistors étaient gravés à 1.5µm en 1986, ceux d’aujourd’hui sont gravés en 32nm ( 0.032µm). Ceci pose cependant le problème de la surchauffe car le nombre de transistors augmente sans cesse, d’après la loi de Gordon Moore, le nombre de transistors dans un microprocesseur double tous les 18 mois.
La capacité de stockage est elle aussi en pleine croissance, tout en rétrécissant en volume comme par exemple Le