L'évaluation
a)Le cadre légal
b)Notion de pouvoir de contrôle et de puissance
L’évaluateur détient le pouvoir par la hiérarchie, le contrôle est donc une obligation légale.
Selon le MEDEF c’est de la responsabilité de l’entreprise, donc du manager de conduire l’évaluation.
Mais l’évaluation peut aboutir à de la pression, une souffrance des salariés.
La responsabilité de l’entreprise est engagée car elle délègue le pouvoir d’évaluation au cadre.
L’entreprise est caractérisée par des relations de pouvoir très fortes, mais l’objectif est de favoriser l’action, plutôt que d’être dans un esprit de sanction.
Par ailleurs, le temps d’évaluation peut être un temps d’échanges, de dialogue.
Lorsqu’on évalue , on pose la problématique de « la norme du vrai », cad que l’évaluateur est en position de scientiste, il détient une vision véritable, la norme est établit et ne bouge plus.
Selon Yves Charles ZARKA ds la revue cités 2009 article « l’évaluateur un pouvoir supposé savoir ».
« au cœur du dispositif d’évaluation, il y a toujours une idéologie et un système, l’idéologie est l’appareil de justification du système. »
A tout moment les choix de l’évaluateur vont entraîner des conséquences, et c’est à l’évaluateur de gérer.
Tout ensuite conduit à un contrôle social, de plus nous sommes dans une économie de marché, de ce fait l’amélioration va être maîtrisée, elle sera tjs relative.
Selon Y.ZARKA l’évaluation met les individus en concurrence, elle créée des relations de pouvoir, elle peut manipuler les individus.
D’ou une augmentation des souffrances, des crispations, notion d individualisme, concurrence interne