L'immigration en France depuis le moyen Age
A l'époque, nous trouvions des migrants de proximités, ou des migrants d'intérieur cherchant du travail.
Mais la France accueillait déjà des migrants de pays voisins comme les Théologiens, marchands, banquiers venus d'Italie, d'Allemagne ou encore de Flandre.
La révolution française, qui affirme la différence entre les citoyens Français et les étrangers, marque un tournant dans l'histoire de l'immigration. L'entrée dans l'ère industrielle et la rupture avec la monarchie, synonyme de liberté, attirent les travailleurs. Comme par exemple les artistes, intellectuels, artisans et démocrates allemands.
Ainsi, la France qui avait besoins d'agriculteurs, ou encore de travailleurs dans les mines met à contribution les immigrants des pays voisins, les italiens font alors leurs apparitions en France.
Au XVIIIème siècle, les migrants viennent de plus en plus loin et trouvent l'asile en France. Les polonais arrivent en masse en France suite aux insurrections de 1830 et de 1863, ainsi que les juifs de Russie fuyant l'empire des tzars à parti de 1881.
La révolution industrielle et l'explosion des productions nécessitent de la main d'œuvre, mais la natalité en France baisse, c'est pourquoi un grand flux d'immigrés suisses, allemands, belges, kabyles et Italiens qui sont, en 1886 les plus nombreux arrivent en France, chassés par la misère ou la surpopulation viennent s'ajouter au prolétariat français pour travailler dans les mines du nord, dans l'industrie textile ou dans les campagnes.
La migration frontalière ne suffi plus.
En 1914 l'entrée en guerre accroît encore les besoins de mains d'œuvres. Plus de 43 000 hommes venus de 552 pays différents auquel s'ajoute 3000 italiens se portes volontaires pour rentrer dans la légion étrangère. Soumis à la conscription de 1912, les algériens arrivent en France, accompagnés de marocains,