la france et l'unité italienne
Le but est de réorganiser le continent italien. Après cette conférence, les états formés sont : le royaume de Piémont- Sardaigne, les duchés de Parme, de Modène et de Toscane, les états de l’église soit les états pontificaux, le royaume des Deux-Siciles, la Lombardie et la Vénétie qui sont cédées à l’empire d’Autriche. Cependant, ciné partie des italiens n’est pas d’accord avec cette répartition des terres et veut une unification du pays. Par exemple, Mazzini fonde en 1831 le mouvement d’Italie dont l’objectif est d’unifier tous les États. Pour lui, l’Italie doit s’unifier car le peuple partage une langue, une culture commune. De plus, ce mouvement prend plus d’ampleur …afficher plus de contenu…
En 1858, Napoléon III rencontre Cavour, ce dernier est soutenu par la France dans la « deuxième guerre d'indépendance italienne » contre l'Autriche. Le théoricien anglais Engels dénonce la domination des monarchies sur le peuple européen. Au fur et à mesure que l’unification italienne se concrétise, la France décida de déclarer la guerre pour annexer la Savoie et le Compte de Nice à la France. En échange, l’Italie aurait un rattachement de la Lombardie et de la Vénétie au Piémont. Le gouvernement du Piémont humiliait la volonté du peuple qui souhaitait son rattachement à la France. Paris déclara que les Alpes sont leurs frontières naturelles, qu’elle possède donc un droit sur celles-ci. Le 11 juillet 1859, suite aux victoires à Solférino et Magenta en juin 1859, Napoléon III négocie