les femmes et la revolution francaise
Mais elles font acte de citoyenneté en se rendant aux débats à l’Assemblée ou dans les clubs parisiens, formant également des clubs spécifiques de femmes, à Paris comme en province. Leur pratique politique est caractérisée par une présence assidue dans les assemblées révolutionnaires. Elles sont des spectatrices actives : on les surnomme « les tricoteuses ». Exclues des grands clubs comme les Cordeliers et les Jacobins, les femmes créent leurs propres lieux de sociabilité révolutionnaire. Par exemple, le 23 mars 1791, la Société patriotique et de bienfaisance des amies de la Vérité est fondée par Etta Palm d’Aëlders. Fréquentée par Condorcet et Olympe de Gouges Les femmes ne seront donc pas actrices de la Révolution qui les cantonnera dans des rôles bien …afficher plus de contenu…
Elle y est présentée comme le « sexe faible » au plan physique comme intellectuel.Code civil de Napoléon CONCLUSION = De nos jours nous pourrions qualifier le processus révolutionnaire de misogyne. Malgré tout, au lendemain de la Révolution les femmes demeurent exclues de la vie politique et sociale par le code civil. Elles sont les grandes perdantes de la Révolution.. Et celles qui tenteront d’agir, d’influencer le cours des évènements politiques le paieront de leur tête, en témoigne les destins