L’antisémitisme durant l'affaire Dreyfus.

Antisémitisme : croyance raciste manifestant une hostilité complète vis-à-vis des juifs

L'affaire Dreyfus commence en 1894, avec une erreur judiciaire concernant l'espionnage et l'antisémitisme.

La victime est le capitaine Alfred Dreyfus, juif, d'origine alsacienne.

Le vrai coupable est l'officier Esterhazy.

A cette époque le nationalisme et le racisme sont très fort en France et en Europe,beaucoup de gens pense que les juifs ne sont pas de bon citoyens.

Des moqueries ainsi que des mensonges sont dit à leurs propos.

Certain journaux comme « libre parole », « le petit journal » en font leurs sujet principal.
Maurice Barrès, fanatique de Drumont considère l'affaire Dreyfus comme « une guerre des races »

Toute la presse est contre Dreyfus, personne aurait pu croire que Alfred Dreyfus soit innocent, il est dégradé publiquement, un soldat lui casse son sabre et il est envoyé en bagne a l’île du diable en Guyane.

La France ce divisent en deux :

Les anti-dreyfusistes et les dreyfusardes.

En 1898, les manifestations antisémites se déclenche a travers toute la France.
Ces manifestations sont très soutenue par une presse opposé à Dreyfus.
Comme « la patrie », « le petit journal », le petit parisien ».

Entre janvier et février 1898, des émeutes éclatent dans 50 villes comme Paris, Marseille, Bordeaux, Nantes, Lyon...

Les groupes manifestants crier « mort au juifs » « la France aux français » (slogan très utilisé pendant toute cette période de crise, souvent a la une de journaux comme « la libre parole ».)

Les Synagogues, résidences des rabbins (chef) ou encore les magasins des commerçants Juifs était détruit par des incendies les plus fréquemment.

Les populations juifs sont terrorisée et souvent physiquement agressée.

En 1902 il y avais encore des manifestations partout dans Paris mais surtout, place de l'Opéra et rue Montmartre ou des grands journaux projetée des