L’intégration dans l’économie mondiale
A] Taux de change : expression des positions relatives
L’équilibre interne est intimement lié à l’équilibre externe. La valeur de la monnaie qui importe est bien entendu son pouvoir d’achat interne, mais aussi son pouvoir d’achat externe, c'est-à-dire sa capacité d’être transformer en devise.
1] Balance des paiements
La balance des transactions courantes est constituée par deux blocs : La balance commerciale, la balance des invisibles. La balance commerciale est la balance entre les importations de biens et les exportations de biens. Les invisibles sont les échanges qu’on ne voit pas passer la frontière tel que les échange de services, les revenus et certains transfères.
On a un équilibre ou un déséquilibre qui retrace à quelque nuance près l’équilibre interne entre le revenu et la dépense des agents.
A cette balance des transactions courantes on ajoute le compte de capital et le compte financier qui vont refléter les mouvements de capitaux.
Le compte de capital est peu important, il reflète les transfères et les acquisitions d’actifs non financiers. Le compte financier est important, on y trouvera tout les prêt qui se font à l’occasion du commerce international : les IDE ( créer ou acheter une entreprise, la France reçoit beaucoup d’IDE) ; les investissements en porte feuille ( les titres).
Une demande d’euro est une offre de devise, et une offre d’euro est une demande de devise. Le Marché des Changes.
Exemple : s’il y a exportation de biens, cela donnera lieu à un paiement en devise (c’est donc une entrée de devise). Sur le marché des changes, cela se traduira par une offre de devises et une demande d’euros. Une exportation importante rend la monnaie très recherchée.
Quand on a des flux d’IDE, si ce sont des étrangers qui veulent investir en France (flux entrant de capitaux), il va y avoir sur le marché des changes une offre de devise e tune demande d’euros. Et si ce sont des flux sortant