O vous frères humains
O, vous frères humains (1972)
Albert COHEN (1895-1981)
Chapitres 1 à 8 : Il commence par réfléchir à ce qu'il va mettre dans son journal, tout en nous disant la décès de sa mère lors de l'occupation allemande, son avis négatif sur « l'amour du prochain », et en pensant à sa mort et au supplice des futurs jeunes juifs.
Chapitres 9 à 13 : Voyant un camelot et voulant faire bonne impression, il décide d'acheter un produit. Mais le blond l'envoie virer, parce qu'il a vu qu'Albert est juif. Il part pleurer dans les toilettes d'une gare tout en se demandant pourquoi cette exclusion.
Chapitres 14 à 19 : On apprend que son rêve d'être colonel tombe à l'eau, à cause de sa religion. Il conclut que les hommes font des absurdités dans certains moments. Il arrive à tirer une définition du terme « pardonner de bon pardon » tout en essayant de tromper le malheur.
Chapitres 20 à 23 : Sa religion ne l'empêche pas d'être sensible, généreux et sympathique. Le soir, devant son autel avec des figurines et les promesses qu'il fait devant, il nous montre son amour pour la France. Il se dit maintenant étranger et son amour pour le pays disparaît.
Chapitres 24 à 34 : Avant de s'endormir, il se crée deux personnages imaginaires : Viviane et un âne. La réputation des juifs n'est pas dût aux enfants et il tient une de ses promesse en écrivant ce livre. « Mort aux juifs » est écrit sur beaucoup de murs, et il se réjouit du bonheur des autres étudiants. Pour lui les chrétiens sont gentils qu'à l'église, et il se fait reconnaître partout à cause de son sourire, sauf au moment où il danse devant l'église.
Chapitres 35 à 40 : Pour lui Dieu est un menteur, et il aurait voulut avoir un accident pur ne pas rencontrer ce camelot. Son sentiment de solitude se fait sentir. Il décide de se faire des amis en commençant par un aveugle dans un bar, puis abandonne cette idée. Rester dans sa chambre à lire est préférable selon lui.
Chapitres 40 à 45 : Dieu, selon