Le dernier jour d’un condamnéLe narrateur est le condamné lui-même (on ne connait pas son identité) (Rq : Il nous ferra la description de tous les lieux où il va). Il raconte son quotidien en prison ainsi que son procès (d’ailleurs son avocat pensait qu’il n’aurait eu « que » les travaux forcés à perpétuité car son crime n’avait pas été préméditer) et ses pensées. Il nous décrit sa cellule ainsi que ses discussions avec les autres détenus. Il nous parle également de sa famille, il nous explique …afficher plus de contenu…

Le condamné ne comprenait pas ça peine pour si peu. Le prêtre et l’huissier reprirent alors leur conversation. Finalement, ils arrivèrent à la Conciergerie à 8h30. Lorsqu’il fut arrivé dans le palais de Justice, l’huissier à remis le condamné au directeur comme s’ils faisaient un échange car l’huissier devait attendre le nouveau condamné qui allait prendre la place de notre condamné dans son ancien cachot. Ils ont alors mis les 2 condamnés dans une cellule « bien verrouillé ». Le nouveau condamné rigolait. Ils se sont alors mis à discuter. Le nouveau condamné, « l’héritier » de notre condamné, lui a alors raconter sa vie : Il lui explique qu’il vivait dans la misère et que pour vivre il a fini par tué. Lui et ses camarades enterraient ensuite les cadavres sous un arbre et ils dansaient alors dessus afin que la terre « ne parût pas fraichement …afficher plus de contenu…

Une fois à l’extérieur, la foule criait et les plus prêt de lui battaient des mains « si fort qu’on aime un roi, ce serait moins de fête ». Il y avait des gendarmes et de la foule partout autour de lui. Les marchands « de sang » vendaient des places pour le « spectacle » mais le condamné aurait tellement voulu leur dire « qui veut la mienne ? ». Tout à coup, la charrette s’est arrêtée et une échelle fut apporter. Il monta. Il finit par dire qu’il avait une dernière déclaration à faire : il voulait écrire ses dernière « volontés ». Il demanda alors sa grâce ou « par pitié cinq minute encore ! ». Mais bien évidemment, le « bourreau » refusa et dit qu’il avait une certaine heure à respecter pour l’exécuter. Il entendit alors quelqu’un monter l’escalier…il était « QUATRE HEURES ». (Avec cette fin o peut en déduire que le condamné a bien été