SVT - vaccinationSVT
La réaction inflammatoire est la première étape de la réponse immunitaire. Elle alerte l’organisme qu’un élément du non-soi est présent dans le sang et risque d’infecter le système et déclenche ainsi la venue de cellules sanguines sur le lieu de l’inflammation afin de provoquer la phagocytose, vouée à faire disparaître le pathogène. Lorsque l’immunité innée n’est pas suffisante, la réaction immunitaire adaptative est enclenchée. Elle permet en neutralisant tous les éléments …afficher plus de contenu…

Il continua sur les souris et arriva enfin à obtenir un virus avec une virulence stable .
Avec la base de ce virus, il put réduire considérablement sa virulence en introduisant la moelle épinière des lapins dans des flacons exposés à de l’air sans humidité . Il injecta ces moelles de moins en moins atténuées à des chiens enragés qui ne furent pas atteints par la rage.
En 1885 , soit l’année de la création du vaccin contre la rage, Joseph Meister , est mordu par un chien enragé et risque de mourir. Alors, Pasteur décide avec l’aide d’un médecin d’injecter les doses de moelles rabiques de plus en plus “enragées” au jeune homme. Après 13 injections en 10 jours, …afficher plus de contenu…

En effet, elle reproduit la réponse primaire et la réponse secondaire appartenant au processus de mémoire immunitaire en permettant une meilleure reconnaissance ( stimulation des lymphocytes mémoires ) et donc une lutte plus efficace ( plus d’anticorps produits ) contre un antigène lors de son intrusion dans l’organisme. Cependant, plus les cellules mémoires seront nombreuses, plus l’immunité sera efficace. Il est donc important de réaliser des rappels de vaccination qui permettent la multiplication des cellules mémoires et des anticorps présents dans l’organisme en déclenchant une réponse secondaire à chaque injection. On peut remarquer que plus de fois on fait de rappel du