Écrire le crime
- Att° : avec un intitulé comme "écrire le crime", pas de réf. à un genre ou un sous-genre "réglé", préexistant
- et de fait, on va jouer sur plsrs genres
- ce que l’on peut d’emblée retenir = -> l’idée que l’on va avoir affaire à une mise en sc, dramaturgie du crime par l’écriture -> ms aussi le crime comme prétexte, intérêt pour l'iter criminis, soit ce qui mène au crime
- or en comparée pour bien raisonner, il faut raisonner sur un horizon général de production, une tradition
- ds ce sujet, ce qui fournit "l'horizon" et les bases de la réflex°= le roman policier et sa tradit°, sachant qu'étalement des œuvre sur un siècle et demi (1866, 1984, 2000) durant lq le genre se constitue progressivement, puis éclate en sous-genres
-> un « proto-polar », un polar et un récit qui prend le contrepied du polar : qqch de l’essai et de l’autobio
-> cette réf. étant plus ou moins au roman policier, un 1er bilan s'impose :
- qu'est-ce qui caractérise le roman policier ? - comment aborder l’écriture du crime à partir du "ro policier" ?
=> on va établir un premier balayage des # approches du ro p., pas livrées pour elles, ms afin de faire jouer ces not° et celles de "écrire le crime"
-> il s'agit ici de mesurer les # déplacts qui caractérisent les ro du programme par / à la tradi p., les mesurer, ms aussi les juger, comprendre leur sens
- étant donné le tps dt je dispose, je vs livre une grille générale, à vs en partie d'aller + fint ds la confrontat° et ce, essentielt à partir de l'étude de passages précis d'où l'intérêt de faire des commentaires composés
I. LE ROMAN POLICIER
1. Naissance d'un genre (cf "Qd le policier devint genre" Intro à Autospies du ro p., Uri Eisenzweig, 1983)
a- Origine introuvable, plurielle, contextuelle (Dubois)
- Dubois : "l'idée d'une origine unk et circonscrite ne résiste pas à l'examen"
- existence d’un fonds commun : La paralittérature contemporaine a pour