I. Le bonheur : la défense des passions A- Un lexique argumentatif

● Discours structuré : «il faut commencer par», «ce serait donc», «mais», «or» ➙ connecteurs logiques

● Présence d’une thèse + antithèse ⇒ Délibértion ⇒ Accentuation de 2 thèses : «le bien/le mal» «malheureux/heureux» «cherchent/cherchent rien» «bonheur obscur»

● Question rhétorique (l 7)

● Formules insistantes ● Argument par syllogisme: L13-14 «mais supposons»

● Insistance forte et oratoire: L1 «se bien» (x2) et l16 «je le répète encore»

B- Le point de vue de l’auteur ● Son jugement: utilisation de la 1ere personne: «je dis»; «me»; «je n’ai pas».... ● Métaphore de la «balance» de la justice utilisée pour son jugement 
 ● Généralisation: elle s’inclut dans un «On». Elle utilise également des tournures impersonnelles: «il faut»; «il faudrait»; «ce serait»..

C- les destinataires ● les malheureux qui se complaisent dans le malheur avec gradation + un rythme ternaire

● les moralistes : « les moralistes qui disent aux hommes» (L2) Elle utilise leur thèse pour la réfuter

● les hommes en générale en quête du bonheur

Axe 2: un texte des lumières

A- la critique des la religion et des moralistes ● critique sous-jacente du raisonnement moraliste des chrétiens

● critique du raisonnement des stoïciens

B- l'émancipation des esprits

● nécessité de penser par soi-même du 1er plan «Il faut commencer» insistance ● Thème central des lumières

Les essais de Montaigne (1er édition 1580) théorisés par Bacon en 1597 et a une tradition argumentative ancienne qui, sous des formes diverses (épitres=lettres, aphorisme, discours), permet le développement de la réflexion personnelle.

En permettant de développer librement une opinion, l’essai est pour son auteur l’instrument privilégié pour exprimer directement son point