4.48 Psychose

Les schizophrénie Intro du livre les psychose de l'adulte ( définir psychose et névrose ) Thème choisis : Les schizophrénies La schizophrénie vient de .. (biographie) Le terme «  Schizophrénie » Désigne un groupe de troubles qui se distinguent des délires chroniques , des psychoses aiguês et des psychoses thymiques. La création du terme de «  Schizophrénie » en 1911 revient à Bleuler. En 1911, Bleuler propose le terme de schizophrénie pour désigner des troubles recoupant en grande partie

compliqué ? Comment adapter son attitude tout en restant professionnel ? En quoi peut-on dire que l’intimité de la patiente est davantage mise en jeu par rapport à un lieu hospitalier ? Difficultés et points à approfondir : La schizophrénie est une psychose chronique caractérisée par des idées délirantes associées à une perturbation importante de la vie sociale, professionnelle et affective. Elle est caractérisée par le délire, la dissociation et le repli autistique. En effet les patients atteints de

affections cérébrales organiques représentent 10% des suicides annuels. Les stades terminaux de maladies (cancers) représentent 4% des morts par suicide. A la faveur d’épisodes anxieux aigus : trouble de panique. Episodes psychotiques aigues : BDA, psychose puerpérale. Annonce d’une pathologie grave comme le VIH. Confusion mentale Epilepsie VI. Évaluation du risque de récidive suicidaire A. Caractéristiques générales L’âge (adolescent, s.agé), le sexe masculin, l’isolement familial (célibataire

pensées insupportables d’ordre sexuel (Névrose, Psychose et Perversion). Toutes ces pensées sont refoulées dans l’inconscient. Ces traces inconscientes et notre structure psychique influencent nos pensées conscientes et notre rapport à notre corps. Par exemple, dans l’hystérie, la représentation psychique inacceptable est déplacée dans le corps (conversion). L’investissement du corps chez le névrosé n’est donc pas le même que dans la psychose (absence d’une représentation morcelée du corps)

extérieur mais surtout à ce chaos psychique qu’est le rêve, « de me représenter en mes songes les mêmes choses ou quelquefois de moins vraisemblables que ces insensés lorsqu’ils veillent » Descartes préfigure ici Freud qui définira le rêve comme « mini psychose ». Il est en effet remarquable de faire valoir ici que la déraison conserve une logique interne, ce qui permet d’ailleurs son identification et son diagnostic comme paranoïa ou comme mélancolie par exemple ; le rêve n’a même plus cet ancrage puisqu’il

traumatique dans le sommeil. I. Traumatisme et névrose de guerre A. Points de vue sur la névrose de guerre La symptomatologie des névroses de guerre montre que les malades empruntent des symptômes aux diverses névroses ou à la psychose. C’est avec la réalité que le patient se trouve confronté et c’est le plus souvent par l’extérieur qu’il a le sentiment que reviennent, sous forme hallucinatoire, les images traumatiques dans les flash-back et les rêves traumatiques. (Castarède M-F

thérapeutique développés avant l’apparition des psychotropes : L’insulinothérapie ou cure de SAKEL Dans les années 50, cette méthode très employée provoque des comas hypoglycémiques avec parfois des convulsions. Elle est utilisée dans le cadre des psychoses endogènes (schizophrénie). Les électrochocs – CERLETTI et BINI (1938) principe : passage d’un courant électrique entrainant une convulsion. Intérêt dans les schizophrénies et les troubles de l’humeur. La psychochirurgie – Edgar MONIZ, neurologue

diversité dans les traitements, dont la seule règle est d’être adapté à un patient, à un moment donné de l’expression de sa maladie Parmi les références françaises, la conférence de consensus sur les « Stratégies thérapeutiques à long terme dans les psychoses schizophréniques » (Paris, 13-14 0ctobbre 1994) indique entre autres, les principes thérapeutiques fondamentaux de la prise en charge : • Nécessité d’une organisation reposant sur des structures intra- et extra hospitalières permettant de mettre

avec beaucoup de rigueur, à partir de l’observation, de nombreux cas comme : ➢ Paranoïa : trouble caractérisé par un délire chronique systématisé et logique prenant appui sur une distorsion de la réalité ➢ Paraphrénie : psychose délirante chronique à mécanisme surtout hallucinatoire et imaginatif ➢ Démence : affaiblissement mental global frappant l’ensemble des facultés psychiques et altérant progressivement, avec l’affectivité et l’activité volontaire du patient

impulsivité conduisant à une inadaptation sociale sans survenue de processus dissociatif. Ce concept est développé en 1924 en France par Minkowski. A la même époque, Claude décrit les schizoses et la schizomanie, qu’il situe entre les névroses et les psychoses. Il proposera en 1939 le concept de schizonévrose, développé également par Ey en 1955, caractérisé par la coexistence de comportements névrotiques polymorphes (hystérique, obsessionnel, psychopathique) et de décompensations psychotiques aiguës (délirantes