A Chacun Son Gout Kant

tragique qui s’est déroulé en 1937, le 27 avril, dans le village du même nom. L’aviation nazie, allié au général Franco, bombarda ce village basque. Ainsi, peut-on voir dans ce tableau un témoignage, un cri de colère, une implication de l’artiste face à la violence de la guerre. Pourtant, est-ce vraiment ce qui fonde la beauté de cette fresque ? En effet, cette lutte contre la barbarie humaine ne saurait dire la totalité de l’œuvre ; on peut y voir un sens, mais pas l’ensemble de son être, l’essence

L’inconscient Lorsque Freud (1856-1939), à la fin du 19e siècle, présente à ses pairs sa théorie de l’inconscient, il rencontre une très vive résistance. La notion d’inconscient est apparue scandaleuse pour deux raisons ; d’une part, parce qu’elle semblait remettre en cause la liberté de l’homme et la maîtrise qu’il était supposé avoir sur lui-même. D’autre part, parce que la région dite « inconsciente » de notre vie psychique semble faire la part belle à la sexualité. Prémisses de la notion d’inconscient

Peut-on vivre sans loi ? Introduction I. PAS D’HUMANITE SANS LOI A. AU NIVEAU SOCIAL 1. Les trois fonctions de la loi. 2. Ethique et droit B. AU NIVEAU PERSONNEL C. LES INTERDITS FONDAMENTAUX II. LOI ET LIBERTE A. LA CASUISTIQUE 1. Laxisme 2. Le rigorisme ou tutiorisme absolu 3. Probabilisme 4. Probabiliorisme 5. Equiprobabilisme B. Emmanuel KANT : PAR DEVOIR OU PAR INCLINATION ? Bibliographie Introduction La loi semble empêcher les hommes de faire ce qu'ils veulent. Or, c'est tout

raison et les idées. Pour lui, éduquer = ex ducere, conduire hors (de la caverne) -> amener l’homme à sortir de sa condition de prisonnier du monde matériel et à se libérer par les idées, la raison, qui doit gouverner le désir et les émotions. Il réagit ainsi à la conception utilitaire de l’enseignement pour Protagoras et les Sophistes : celle-ci vise l’adaptation fonctionnelle de l’individu à sa société. Platon propose une conception libérale de l’éducation, orientée vers le développement de l’esprit

sommes amenés à définir si les oeuvres d'art sont des réalités comme les autres. On sait que l'objet cumule des critères qui répondent à de multiples questions comme le critère génétique, comment un objet existe t-il? Comment est-il fabriqué?, le critère générique, à qu'elle catégorie l'objet appartient-il?, le critère fonctionnel, à quoi sert l'objet? Ou encore un critère institutionnel, qui décide du statut de l'objet? On se pose d'abord la question sur la signification de l'oeuvre d'art à savoir qu'elle

_______________ « Celui qui aime quelqu’un à cause de sa beauté, l’aime-t-il ? Non ; car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu’il ne l’aimera plus. » Pascal utilise ainsi un exemple ordinaire pour établir un premier lien entre la beauté et l’idée d’apparence. Dans l’emploi philosophique, la référence à l’apparence est aussi péjorative : les apparences ne donnent à voir des choses ou des êtres qu’une sorte de surface peu conforme à ce qu’ils sont au fond, ou ‘en réalité’

grande crise de la théologie chrétienne à la fin du Moyen Age qui est à l'origine de ce changement de point de vue dont il faudra examiner le bien fondé. I- La morale comme ensemble de règles a) Les règles morales sont fixés par la société Beaucoup de personnes considèrent que ce qu'on doit faire est ce que font la plupart des gens, et que par conséquent, les règles du bien et du mal sont fixées par la société. En fait, il est évident que cette expression a un sens indéterminé , et qu'on ne sait

LE SUJET Sujet / prédicats (grammaire) Sujet / objet (H doué d’une subjectivité et d’une intériorité par opposition aux choses) Kant : H ont une valeur absolue, irremplaçable (dignité) tandis que les choses n’ont qu’une valeur relative (marchande) car H peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec

son étymologie, tekhnê, à l'idée de technique. En ce sens on utilise le mot « art » pour décrire un savoir-faire comme l'art médical, l'art d'enseigner, l'art de bien parler, etc. Mais dans son sens actuel l'art désigne ce que l'on appelait les beaux-arts au XVIIIe siècle, la création d'œuvres d'art. Les règles sont des conventions, des lois ou normes qui indiquent ce qu'il faut faire, la méthode à suivre pour faire quelque chose. Les règles de l'art renvoient directement à l'idée d'une technique

subsitut de la liberté, mais cette opinion peut-elle vraie? A quel niveau peut-on dire que l'art favorise la liberté? Dès l'antiquité, les hommes étaient des artistes. Ils pratiquaient toutes les formes d'arts: l'écriture, (qui regroupe entre autres, le théatre et la poésie) la peinture, la sculpture, la musique, etc. Dès lors, différentes règles devaient être appliquées, comme par exemple en Grèce; les vases appelés cratères obéissaient à des règles géométriques strictes. Les artistes qui créaient