A Jules J De Victor Hugo

Cité à Paris, est une cathédrale possédant une imposante architecture ainsi qu’un riche patrimoine historique. Ce bâtiment représente le style gothique à ses débuts (2eme moitié du XIIème siècle) et inspira beaucoup d’œuvres artistiques et littéraires notamment le roman de Victor Hugo, Notre Dame de Paris publié en 1831. Le lecteur y découvre un monument lugubre et froid en plein XVème siècle au Moyen-Age, servant tantôt de théâtre, tantôt de témoin à une action romanesque, tantôt d’asile à un peuple

de donner un dénouement à l'histoire ? → On parle aussi d'excipit pour qualifier cette page. Introduction : Film et réactions des spectateurs à sa fin, comparaison à la fin d'un livre qui donne une impression finale ainsi qu'un jugement au lecteur. I. La dernière page d'un roman donne souvent un dénouement à l'histoire. 1. Régler le sort des principaux personnages De manière définitive. Morts successives d'Emma et de Charles Bovary dans Madame Bovary de Flaubert. De manière à répondre aux attentes

Biographie Victor Hugo Né à Besançon, le 26 février 1802. Poète précoce, il concourut pour le prix de poésie à l’Académie à l'âge de 15 ans ; l'Académie crut que le jeune poète se moquait d'elle en donnant cet âge et ne lui accorda qu'une mention ; lauréat des Jeux floraux de Toulouse en 1819 et 1820, il fut nommé maître ès Jeux floraux. Il publia le premier volume des Odes et Ballades en 1822 et le second en 1826 ; entre ces deux volumes avaient paru les deux premiers romans, Han d'Islande en

Initiation à la dissertation Sujet : Citation de Victor Hugo : « Tant qu'il y aura sur terre ignorance et misère,des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. » Analyse du sujet : Ignorance : -involontaire->inculte->absence d'instruction->absence de réflexion et de jugement. -volontaire->ceux qui ferment les yeux. Misère : -pauvreté->indigence/besoins vitaux insatisfaits. Des livres de la nature de celui-ci : -de la nature->engagés -celui-ci->Les Misérables. ne

Le Dernier Jour d'un condamné Le Dernier Jour d’un condamné est un roman de Victor Hugo publié en 1829 chez Charles Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Genèse Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville

Le césarisme est un régime politique inspiré du gouvernement de type monarchique que voulait imposer Jules César à Rome, où le pouvoir est concentré entre les mains d’un homme fort, chef militaire charismatique, appuyé par le peuple. Sous les premier et second Empires, au XIXe siècle, apparaît en France la notion de césarisme démocratique : le chef s'assure de l'aval du peuple à chaque opération politique majeure, en détournant des procédés de démocratie semi-directe, tels que le référendum, pour

troupes françaises. Il fait la rencontre à Nice de Louise de Coligny-Châtillon, qu’il surnomme Lou et qui devient sa maîtresse. Dans les tranchées il idéalise cette femme qu’il aime, lui écrit tous les jours des lettres et des poèmes… L’amour et la guerre y sont étroitement liés car ils sont alors l’essentiel de sa vie de poète. Les Poèmes à Lou, œuvre posthume (publiée pour la première fois en 1947 sous le titre Ombre de mon amour), ont été extraits des Lettres à Lou. Voici, dans cette sélection de

  "A boire !répéta Quasimodo pantelant...Une jeune fille bizarrement vêtue sortit de la foule..."(Notre Dame de Paris) (Tableau d' O.Merson)   Victor Hugo (1802-1885) Victor Hugo est un écrivain et un républicain. Il est enterré au Panthéon.Son œuvre romanesque s'inspire de de son observation de la société, de son amour pour Paris, dont il admirait les Monuments et déplorait le mauvais état, de son désir de voir le peuple sortir de la misère et conquérir le droit à une vie décente, à l'instruction

de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel de Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement[1]. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que 3 ans plus tard (15 mars 1832) que Victor Hugo complète sa nouvelle par une longue

définition de la prose, censée relever du pur constat, sans engendrer de jugement a priori, se charge d’une valeur esthétique négative dans l’adjectif prosaïque. Littré, qui définit prosaïser comme le simple procès d’« écrire en prose », définit l’adjectif prosaïque comme ce « qui tient trop de la prose ». Pierre Larousse donne d’abord une définition objective deprosaïque : « Qui tient de la prose, qui appartient à la prose », puis précise : « Ne se dit guère que par dénigrement », et donne les exemples