À nos actes manqués

début déroutant a) Un cadre imprécis Lʼhistoire pourrait se dérouler nʼimporte où. Omniprésence du Je, choix des marqueurs temporels « aujourdʼhui », « hier », « demain », « dans lʼaprès-midi », « demain soir » : tendent vers le journal intime. Cependant, nous nʼen avons pas les indices traditionnels (indications de lieu et dʼheure de lʼécriture). Néanmoins, par emploi du PC, du présent de lʼindicatif, du futur, nous sommes évidemment dans une forme de discours qui nous donne à voir lʼintériorité

Comme l'a dit Platon, dans le « Banquet », celui qui désire une chose désire une chose qui lui manque et ne désire pas ce qui ne lui manque pas. Ainsi le bonheur est la satisfaction de tous nos désirs. Or si le désir est une manque comme l'affirme Diotime, et si nous désirons le bonheur, c'est qu'il nous manque. Alors l'Homme n’appellerait « bonheur » que l'objet manquant justement a son bonheur. Plus généralement le bonheur se définit comme étant État de satisfaction parfaite, de contentement du

Le sujet nous pose la question suivante : “suffit-il d’être conscient de ses actes pour être responsable ?” , en d’autres termes, est-ce que la conscience est la condition nécessaire et est-elle suffisante pour attribuer la responsabilité d’un acte à quelqu’un. (faut-il être conscient pour être responsable ?) . Être responsable peut vouloir dire qu’on l’auteur de nos actes, qu’on a la liberté de faire un choix, et qu’on est conscient des conséquences que va engendré notre choix. Quelle est la vision

Je trouve mon voisin grossier et méprisable. » Voilà un jugement typique que n’importe lequel d’entre « nous » (c'est-à-dire un individu ou une communauté ayant ses propres valeurs, normes, etc.) pourrait faire à propos d’autrui, cet autre être pensant. Ainsi ce n’est pas tant la possibilité d’émettre des jugements, chose qu’il nous est possible de faire à longueur de temps (mis à part les malades mentaux), que la légitimité de ces jugements qui est mise en cause par le sujet. En effet, il semble

peuvent se satisfaire qu'en trompant la vigilance de la conscience, sous forme déguisé, dans les rêves, les actes manqués, c'est à dire les erreurs, les oublis ou encore les lapsus, comme par exemple lorsque qu'on s'adresse à quelqu'un en l'appelant par le prénom d'une autre personnes, cela signifiai que l'on pensait à cette autre personne à qui l'on désirerait parler plus qu'a cette personne présente à ce moment. Notre inconscient pourrait donc nous faire dire des choses « imprévus » qui nous mettent en

liberté et un certain pouvoir pour les auteurs de mauvais actes qui sont alors de plus en plus nombreux. Le fait de ne pas porter plainte (peur des représailles, manque de temps pour les démarches ou simplement du à une non connaissance des lois) est donc une cause des incivilités vu que cela permet la contribution de celles-ci. La montée de la tolérance vis à vis des déviances mineurs et un relâchement de l'autorité parental (manque d'éducation) est aussi un facteur important. On peut peut aussi

certains litiges consécutifs à des actes administratifs peuvent être portés devant le juge judiciaire. La voie de fait a connu une extension pendant l’après Guerre, lorsque les situations d’urgence se sont multipliées. On annonce son déclin aujourd’hui. I) Malgré quelques inflexions, la définition jurisprudentielle de la voie de fait a peu varié. A) La définition traditionnelle de la voie de fait. On distingue deux voies de fait : la voie de fait « par manque de droit », lorsqu’une décision

« L’ homme est-il toujours maitre de lui-même ? » La conscience est la faculté par laquelle chaque individu à la connaissance directe et immédiate de son existence, de ses états affectifs, de ses actes,… Avoir conscience de ses actes, c’ est se rendre compte de ce que nous faisons, nous agissons en connaissance de causes. Nous pouvons aussi agir machinalement sans réfléchir ou encore perdre conscience. Nous pouvons donc dire que la conscience est une faculté qui s’ acquiert mais que nous pouvons

psychique de l’adolescent à se laisser influencer ou à subir des évènements). C’est ainsi le cas de Christian, qui au sein de sa famille naturelle rencontres de nombreuses difficultés. Les parents sont présents mais ne peuvent apporter un cadre assez contenant au jeune adolescent, qui dès lors commet des passages à l’acte. Quelles peuvent être la signification et l’origine du comportement de Christian mais aussi quelles réponses éducatives peut-on apporter face aux actes qui ont été posées ?

», c’est en général a) soit parce que nous ne sommes pas sûrs/sûres qu’une certaine personne très spéciale nous aime réellement, ou bien b) parce qu’une certaine personne très spéciale nous accuse de ne pas l’aimer réellement. Toutefois, lorsque nous sommes vraiment investis dans le fait de prodiguer et de recevoir de l’amour, nous ne nous posons pas de telles questions philosophiques. C’est seulement quand une chose vient à manquer que nous nous mettons à l’analyser et à en contempler la nature