À nous la liberté

(comme dans « Pourquoi pleures-tu ?) ⋄ qu’est-ce qui nous pousse à vouloir être libres ? C’est peut-être d’abord le fait de ne pas l’être. C’est sans doute d’ailleurs un présupposé de la question : si nous voulons être libres, cela semble indiquer que nous ne le sommes pas : soit pas initialement, et la liberté est une fin à atteindre ; soit pas du tout, et la liberté est un leurre. Cf. critique spinoziste du libre-arbitre (Lettre à Schuller) : c’est par vanité, par orgueil métaphysique, parce qu’il

LA LIBERTÉ « Être libre, c'est faire ce que je veux » : telle est notre définition courante de la liberté. Je ne serais donc pas libre lorsqu'on contraint ma volonté par des règles, des ordres et des lois. Être libre serait alors la condition naturelle de l'homme, et la société la marque de son esclavage. Pourtant, cette opinion ne semble pas tenable. 1 Le désir de liberté Être libre, est-ce faire ce que l’on veut ? Chaque individu

donc naturellement enclin à former des groupes, des sociétés avec ses semblables, avec autrui. L’autre, celui qui est différent de moi, paradoxalement c’est aussi le seul en lequel je peux me reconnaître en tant qu’Homme. Je vis avec les autres en société, que ce soit par intérêt ou par besoin, je cohabite avec les autres. Ce lien social qui nous unit, nous enchaîne également à des règles de conduite, à une morale, à des lois. Si je les respecte je peux jouir de ma liberté au sein de la société mais

La liberté est-elle limitée par la nécessité de travailler ? Introduire : §1 Présenter la question en partant du présupposé que travailler est nécessaire. Dans la réalité, personne ne peut faire ce qu’il veut en toute liberté et l’on pense que le travail est une contrainte. Mais la liberté est-elle limitée par la nécessité de travailler ? §2 Présenter ce qui fait question et pourquoi : Il y a bien une limite, mais comment l’interpréter ? Le travail est-il une servitude, un obstacle à la liberté

Peut-il y avoir liberté sans loi ? Peut-on concevoir une liberté sans loi ? La question posée : Peut-il y avoir liberté sans loi ? ne revient pas à la deuxième: cad la possibilité de la concevoir ou de l'imaginer. Car c'est évident que l'on "conçoit" une telle liberté mais n'y a-t-il pas contradiction ? D'un côté, on la définit comme devant être sans contrainte, et de l'autre la liberté rencontre des empêchements ou des déterminations. Or, il est évident que la loi oblige et donc limite

Sujet : La liberté consiste-t-elle à réaliser tous nos désirs ? Les sociétés occidentales modernes dans lesquelles nous vivons tendent de plus en plus vers l’individualisme, et cet individualisme est un moyen d’échapper à la contrainte et revient donc à faire ce qui nous plait. Parallèlement à cela, on constate également que dans les sociétés occidentales modernes dans lesquelles nous vivons, se développe de plus en plus, un désir de liberté. On peut alors se demander s’il y a correllation

Peut-on concevoir une liberté sans loi ? Nous pourrions supposer que, comme l’a dit Voltaire, « La liberté consiste à ne dépendre que des lois » autrement dit, sans loi nous ne pouvons admettre de liberté. Ors la loi ne limite t’elle pas notre propre pouvoir d’action, de « faire ce qu’il nous plait ». Si autrefois la liberté (du latin liber) était un statut social, une condition de l’homme libre qui n’est ni esclave ni prisonnier, elle est de nos jours une valeur, un concept, que l’Homme exige

peut pas agir librement. il est enfermé car il a enfreint la loi. Il perd alors toute liberté d’action, il n’est plus libre de ses faits et gestes. Toute sa vie est contrôlée et dictée tout le long de sa détention, il est enfermé dans les habitudes qui lui sont exigés. A l’inverse, être libre, se traduit par le fait de n’être dépendant de personne, de ne pas être prisonnier mais aussi en étant autonome et en agissant selon sa propre volonté. La liberté est quelque chose qui se gagne, au fil du temps

Axes de réflexion : - La liberté semble être une donnée immédiate de la conscience; non seulement elle ne requiert peut-être pas d'apprentissage mais peut-être aussi l'apprentissage lui-même est contradictoire avec la notion de liberté. - Toutefois l'idée d'une liberté immédiate est peut-être une illusion provoquée par les limites de la conscience humaine : je ne connais pas les véritables causes qui me poussent à agir. - Alors la liberté n'est peut-être pas une donnée mais un acquis aussi bien

 -La liberté d’expression est un droit complexe, car elle n’est pas absolue et qu’elle s’accompagne de devoirs et de responsabilités à certaines restrictions, qui doivent toutefois être prescrites par la loi et être nécessaires3 ». Elle « protège » également « tant le droit du locuteur que celui de l’auditeur4 ». Ces deux droits s’opposent parfois puisqu’il faut concilier les droits à la dignité, à la sécurité et à la vie privée. La plupart des restrictions reposent sur cette opposition. -Par