Aaron Copland

Aaron copland Né dans une famille d'émigrés russes, il étudie le piano dès son plus jeune âge, avec Victor Wittgenstein et Clarence Adler. De 1921 à 1924, il suit l'enseignement de Ricardo Viñes, au Conservatoire américain de Fontainebleau, en France. De retour aux États-Unis en 1924, Aaron Copland donne les créations de ses premières œuvres : Symphonie pour orgue et orchestre (1925), Il fonde en 1928 les Copland-Sessions Concerts à New York. Il s'agit de séries de concerts destinés à promouvoir

ou l'ironie d’une marche triomphale de la dictature sur le peuple opprimé Cuivres et timbales dans les moments brillants. (nuances forte) Cordes ou bois dans les passages plus calmes (nuances piano) 2. Fanfare for the common man Aaron Copland Compositeur : Aaron Copland, américain 1900-1990. Contexte Common man = homme ordinaire = équivalent de notre soldat inconnu. Oeuvre de commande à vocation patriotique écrite en 1942 à la suite de l’attaque japonaise de Pearl Harbor. Commande du chef d’orchestre

géographiquement. Fanfare for the common man Cette œuvre a été crée en 1942. C'est l'œuvre de Copland la plus connue et la plus reconnaissable. Ce qui frappe à la première écoute, c'est la facilité d'accès et la simplicité de la mélodie. En effet, en plus d'être particulièrement connu grâce au contexte sociopolitique qui l'a vu naître, cette œuvre révèle la volonté du compositeur Copland de rendre plus accessible la musique moderne. Pour cela, il a, au départ été refoulé par les institutions

Aaron Copland, Fanfare for a common man Organisation interne de la pièce On distingue 4 sections à chaque fois séparées par une intervention des percussions qui font presque toujours  le même rythme (attention aux variations !). Ce rythme, formé d’une longue et de 2 brèves, porte le nom savant de dactyle. 1ère section : Après 5 mesures aux percussions, le thème principal est présenté une 1ère fois aux 3 trompettes seules et à  l’unisson. Seule une mesure aux percussions sépare la 1ère de la 2ième section

collaboration avec Welles. Il s’essaie à la musique de film de science-fiction avec l’usage d’un instrument électronique : le thérémine, inventé en 1919 par le russe Léon Theremin . Sa route croisera également très tôt celles de Charles Ives, Aaron Copland ou George Gershwin. Sans oublier la grande connaissance qu’avait Herrmann de la tradition symphonique européenne héritière du Romantisme, Richard Wagner, Gustav Mahler, Richard Strauss… Fort de ces influences, Herrmann portera très haut les exigences

le 14 octobre 1990, à l'âge de 72 ans. Au cours de sa carrière Leonard Bernstein a reçu de nombreux titres et distinctions honorifiques qui font de lui le musicien américain le plus célébré et le plus populaire au monde avec George Gershwin et Aaron Copland.

 Les influences de la musique Américaine sur les œuvres de Dvorak, Gershwin, Ravel et Copland. Introduction. L’histoire des Etats-Unis est un merveilleux exemple. Celui d’un peuple qui, en moins de trois siècles, s’est formé et placé au premier rang de la civilisation. Idéaliste et positif, indépendant et discipliné, enthousiaste et averti, il ne possède pas d’antiques archives, mais la légitime fierté d’être devenu l’un des principaux centres d’attraction du monde. Issu

: La Monte Young, Philip Glass, Terry Riley, John Adams Bruitages Dans La guerre Clément Janequin, compositeur français du XVI° siècle, imitait le bruit de la bataille avec des onomatopées chantées par les voix Dans Fanfare for the common man Aaron Copland, compositeur américain du XX° siècle, imite le bruit des canons à l’aide des percussions (timbales et grosse caisse). HISTOIRE Different trains Steve Reich 1. Nommer le moyen de transport qui est utilisé par les Nazis et dont Steve Reich recrée

entièrement ses procédures techniques…” Theodore W. Adorno. Cette posture est confirmé par Blas Emilio Atehortúa, un des plus grands compositeurs colombiens, qui a fait ses études en Amérique et en Europe, entre autres avec Alberto Ginastera et Aaron Copland. Dans ses oeuvres l’élément plus important c’est le nationalisme, important mouvement musical du XXe siècle. Atehortúa exprime qu’il compose à partir de son expérience de vie, de sa culture, de son identité car même s’il a pu assimiler d’autres

sont américains et sont des super-héros. Tout ça pour montrer la puissance de l’Amérique et faire passer un message disant que ce sont eux les plus forts et les meilleures. Une autre œuvre musicale comme Fanfare for the common man écrite par Aaron Copland en 1942 (œuvre de musique classique pour cuivres et percussions, qui est une fanfare s’inspirant du jazz et du folklore américain), montre bien que dans le domaine musical, l’état demande aussi au compositeur de créer une production pour rendre