Aaron Copland

étrangers viennent dès la fin du XIXe siècle à Paris pour se former ou se perfectionner. Les premiers sont les espagnols (GRANADOS, ALBENIZ, DE FALLA), ils seront imités par tous les grands noms de la première moitié du siècle : les américains Aaron COPLAND et George GERSHWIN, le brésilien Heitor VILLA-LOBOS, le tchèque MARTINU, le russe PROKOFIEV… Outre cette perspective d'apprentissage, les compositeurs étrangers recherchent dans les séjours parisiens (plus ou moins prolongés) une reconnaissance

composers as George Gershwin (1898-1937) and Aaron Copland (1900-1990) incorporated homegrown melodies and rhythms into forms borrowed from Europe. Gershwin's "Rhapsody in Blue" and his opera Porgy and Bess were influenced by jazz and African-American folk songs. Some of his music is also self-consciously urban: The opening of his "An American in Paris," for example, mimics taxi horns. As Harold C. Schonberg writes in The Lives of the Great Composers, Copland "helped break the stranglehold of the German

cet ouvrage deviendront eux-mêmes des standards incontournables du Jazz : « Summertime » (air de Clara), « I got plenty o’ nuttin’ » (air de Porgy). La diversité des sources folkloriques se retrouvent encore dans les symphonies de jeunesse de Aaron COPLAND (1900-1990). Parmi les compositeurs américains qui ouvrent le XX° siècle, le plus audacieux est sans aucun doute Charles IVES (1874-1954). Son œuvre est une suite d’emprunts à différentes techniques et à différents répertoires. Ainsi, il utilisera

Wilson. En musique, Charles Ives (1874-1954) est considéré comme l'un des premiers grands compositeurs américains, dans les années 1910. Henry Cowell et John Cage ont essayé après lui de donner une approche américaine de la composition classique. Aaron Copland et George Gershwin développent une synthèse spécifiquement américaine de la musique populaire et classique. En ce qui concerne la musique populaire du XXe siècle, les États-Unis sont le berceau du gospel, du jazz, du blues, du rhythm and blues

chef d’orchestre à Paris en dirigeant ses propres œuvres. À partir de 1921, elle enseigne au conservatoire américain de Fontainebleau où elle voit défiler dans sa classe plusieurs générations d’éminents compositeurs américains (Elliot Carter, Aaron Copland, Walter Piston et Roy Harris). Elle en sera directrice de 1948 jusqu’à sa mort. Elle enseigne également à l’École normale de musique de Paris et au Conservatoire national supérieur de Paris. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle reste aux États-Unis

chef d’orchestre à Paris en dirigeant ses propres œuvres. À partir de 1921, elle enseigne au conservatoire américain de Fontainebleau où elle voit défiler dans sa classe plusieurs générations d’éminents compositeurs américains (Elliot Carter, Aaron Copland, Walter Piston et Roy Harris). Elle en sera directrice de 1948 jusqu’à sa mort. Elle enseigne également à l’École normale de musique de Paris et au Conservatoire national supérieur de Paris. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle reste aux États-Unis

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et fut très fier d'y résister. Il expédia le rendezvous et renvoya Jobs dans ses pénates. À l'été 1996, le P-DG rencontra un sérieux problème. Apple fondait tous ses espoirs sur un nouveau système d'exploitation, nommé Copland, mais Amelio, peu après sa nomination, apprit que Copland ne réglerait pas les faiblesses de l'ancien système du Mac dans la gestion des réseaux et la protection de la mémoire vive et, pis encore, qu'il ne serait pas fonctionnel en 1997 comme prévu. Amelio annonça publiquement

fut très fier d’y résister. Il expédia le rendez-vous et renvoya Jobs dans ses pénates. À l’été 1996, le P-DG rencontra un sérieux problème. Apple fondait tous ses espoirs sur un nouveau système d’exploitation, nommé Copland, mais Amelio, peu après sa nomination, apprit que Copland ne réglerait pas les faiblesses de l’ancien système du Mac dans la gestion des réseaux et la protection de la mémoire vive et, pis encore, qu’il ne serait pas fonctionnel en 1997 comme prévu. Amelio annonça publiquement