Aby Warburg

perspectives scientifiques comme celles phénoménologique (Maurice Merleau-Ponty, etc.), psychologique (René Huyghe, etc.) et psychanalytique (Meyer Schapiro, etc.), sociologique (Arnold Hauser, Pierre Francastel, Howard Becker), structuraliste (Aby Warburg, Erwin Panofsky, Hubert Damisch, Pierre Daix), marxiste (Michael Baxandall, Françoise Bardon, etc.), formaliste et sémiologique (Heinrich Wölffin, Roland Barthes, Umberto Eco), postmoderniste (Achille Bonito-Oliva, Jean-François Lyotard, Jacques

mais également mettre en pratique dans ses livres pour inciter le lecteur à adopter cette façon de lire. Nous verrons alors que ces modes d’écriture et de lecture permettent de lire la mémoire comme un atlas Mnémosyne, à la manière de celui d’Aby Warburg, où des éléments significatifs se créent dans les intervalles formés par le montage des deux textes de W ou le souvenir d’enfance, l’un fictif, l’autre autobiographique. 5 L’Atlas de la mémoire dans l’œuvre de Georges Perec La thématique de l’atlas

La question est : peut-on comprendre l'art sans le regard de l'histoire ? Il faut essayer de distinguer la réflexion sur l'œuvre et la réflexion sur le "temps" de l'œuvre. Les historiens de l'art ont un rapport trop chronologique à l'œuvre. Aby Moritz WARBURG, historien de l'Art allemand, considère qu'il existe une sorte de permanence dans l'Histoire de l'Art, indépendante de toute chronologie. On aurait des survivances dans l'art qui ont un rapport à l'Histoire diachronique (c'est-à-dire l'Histoire

enchaînement tend à produire une intertextualité galopante, comme si, dans la vitesse même du montage, l'effort de citation s'accélérait lui aussi. Le film devient ainsi une encyclopédie, en image, de l'histoire de l'art mondiale (on pense ici à Aby Warburg et sa grande œuvre, Mnemosyne). La manière dont le film, tourné le plus souvent en extérieurs réels, exploite l'architecture de Paris (la plus monumentale comme la plus secrète) n'y est pas étrangère : chaque plan se nourrit d'histoire et d'histoire

perspectives scientifiques comme celles phénoménologique (Maurice Merleau-Ponty, etc.), psychologique (René Huyghe, etc.) et psychanalytique (Meyer Schapiro, etc.), sociologique (Arnold Hauser, Pierre Francastel, Howard Becker), structuraliste (Aby Warburg, Erwin Panofsky, Hubert Damisch, Pierre Daix), marxiste (Michael Baxandall, Françoise Bardon, etc.), formaliste et sémiologique (Heinrich Wölffin, Roland Barthes, Umberto Eco), postmoderniste (Achille Bonito-Oliva, Jean-François Lyotard, Jacques

perspectives scientifiques comme celles phénoménologique (Maurice Merleau-Ponty, etc.), psychologique (René Huyghe, etc.) et psychanalytique (Meyer Schapiro, etc.), sociologique (Arnold Hauser, Pierre Francastel, Howard Becker), structuraliste (Aby Warburg, Erwin Panofsky, Hubert Damisch, Pierre Daix), marxiste (Michael Baxandall, Françoise Bardon, etc.), formaliste et sémiologique (Heinrich Wölffin, Roland Barthes, Umberto Eco), postmoderniste (Achille Bonito-Oliva, Jean-François Lyotard, Jacques

Novak qui n’est autre que Madeleine dans le film de 1958 Sueurs froides (Vertigo). On retrouve aussi ce régime de mémoire par association d’idées et syncrétismes divers dans la zone «Photo» où l’Atlas de Mnémosyne, conçu dans les années 20 par Aby Warburg, ne figure sûrement pas au hasard et invite à nouveau à des jeux de mémoire jouant sur des assemblements d’images, ordonnées selon le principe des affinités électives et non selon le principe alphanumérique. Ainsi, la mémoire chez Marker s’élabore-t-elle

particulier. Art de Cour, antiquité des ornements décoratifs. Goût du merveilleux (poésie…) La peinture est plus inspirée par l’enluminure que par la sculpture et l’architecture. On voit également une iconographie complexe. Analyse iconologique par Aby Warburg en 1912. Ici : profane. Salle des mois, vaste salle de réception : 24m L, 11m l, 7m h. Francesco del Cossa, Avril, vers 1470, fresque, 5m*3.20m, Ferrare, palais Schifanoia, salle des Mois. Structure architecturale fictive (illusionniste // chambre