Accords de Dayton

Massacres, viols massifs Camps de concentration, déplacements forcés III) La fin du conflit et son bilan A. La reconnaissance de la paix -> La guerre termine grâce à l’intervention de la diplomatie américaine (pacte de l’OTAN) -> Les accords de Dayton sont signés en novembre 1995 En réalité imposés par les États-Unis pour donner un débouché au conflit Règlent la paix, mais reconnaissent la ‘purification ethnique’ Bosnie-Herzégovine reste aux frontières inchangées Mais, divisée en deux

américaine: les accords de Paris mettent fin à la guerre du vietnam qui terni l'image des EU. Ils connaissent une crise de conscience avec une remise en cause au coeur même de la pop. S'en suit le scandale de watergate qui entache la fonction du président. La monnaie est malmenée et dévalué à plusieurs reprises et perd sa convertibilité en or. Les décénies 60 et 70 sont difficiles pour les EU, avec des pb liés aux manif des minorités. -contestation du bloc soviètique: l'URSS a signé les accords d'helsinki

minorités et de négociations internationales, l’heure des accords de Dayton était arrivée. En effet, entre août et décembre 1995, sous la direction des américains eurent lieu des pourparlers entre les principaux acteurs de la guerre en BH. Il s’agissait de mettre fin à la guerre en instaurant un équilibre régional par la création de deux entités distinctes, à savoir, la Bosnie Herzégovine, et la République Serbe de Bosnie. Si les accords de Dayton furent considérés comme un succès sur la scène international

regrouper dans un ensemble politique la totalité de la population serbe créant ainsi une guerre civile. - 1992 : échec de la Forpronu (Force des Nations unies) pour régler les affrontements. -1995 : intervention des Etats-Unis pour signer les accords de Dayton séparant la Bosnie en deux : - la république des serbes de Bosnie - la fédération croato-musulmane Fin d’une guerre ayant fait 200 000 morts et 2 millions de réfugiés. Le Kosovo - 1998 : guerre civile déclarée au Kosovo, province de Serbie

Etats n’est le successeur de l’Etat préexistant sauf s’il y a un accord. Les processus de dissolution sont propres à chaque contexte historique, à chaque Etat. Mais il existe une constante, c’est que si dissolution il y a, cette dissolution s’effectue au sein des frontières de l’Etat initial. Nous pouvons prendre quelques exemples de dissolution d’Etat comme ce fut le cas pour la Tchécoslovaquie le 1er janvier 1993, avec un accord commun pour une liquidation de l’Etat fédéral et la création de la

presque jusqu’à l’entrée de Banja Luka, la plus grande ville tenue par les Serbes, avant que les autorités américaines ne réunissent les trois partis sur la base aérienne de Wright-Patterson à Dayton en Ohio. Le 21 novembre 1995, après des semaines de négociations épuisantes, un accord fut trouvé, et des accords de paix furent signés à Paris trois semaines plus tard. L’impuissance des nations occidentales Dans cette histoire d’une diplomatie impuissante à faire naître une solution se trouve la racine

4 zones d’occupation : secteurs français, bq et américain à l’Ouest, secteur soviétique à l’Est => Berlin = une image en réduction de l’Allemagne, enclavée dans le secteur soviétique. CEPENDANT les Soviétiques remettent rapidement en cause les accords de gestion commune de l’Allemagne convenus aux conférences de Yalta et Postdam. EN EFFET dès 1947, l’URSS entame la satellisation des Etats d’Europe orientale (= installation de gouvernements communistes) ; cette politique expansionniste doit également

téléphone rouge est crée, il relie Kremlin a maison blanche. Le président Nicson accepte au début des années 70 un CONDOMINIUM( un principe à 2) . Juin 1972 Nicson se rend a Moscou. La détente aboutit a des accords commerciaux et politiques.(Etats unis vend du blé a l'URSS). 26 MAI 1972 "Les Accords de SALT1". En Allemagne WILLY BRANDT promeut " l'OST Politic" traduit par la reconnaissance officiel de la RDA. Voyage en URSS et en Pologne. 8) La conférence HELSINKI. 30 Juillet 1975 1 Aout

1971. 3. Le recul de l’influence américaine La « politique des bons sentiments « menée par le président démocrate Jimmy Carter explique un recul de l’influence américaine dans le monde. Ils obtiennent un important succès diplomatique avec les accords de Camp-David (1978) qui mènent Israël et l’Egypte sur la voie de la paix. Mais la Grenade et le Nicaragua se rapproche de l’URSS et la Révolution islamique en Iran (1979) met fin au régime prooccidental du Shah (de plus humiliante prise d’otages

liberté et le respect des droits de l’homme sont défendus par les nations […] » (Discours devant le Congrès, 6 mars 1991). L’idée d’une sécurité collective (Opération Restore Hope, Somalie, 1991-1993) garante des droits de l’homme et des peuples (Accords d’Oslo-Washington, 1992 entre Israël et l’OLP de Yasser ARAFAT) prend corps, promettant un « nouvel ordre mondial » fondé sur le multilatéralisme.  La fin de la « Guerre du Golfe » (1990-1991) avait fait courir sur le monde un vent d’euphorie. L’ONU