Accords de Lomé

l’accord portant création d’un groupe régional de l’Afrique occidentale. Mais c’est en 1972, à l’initiative du Nigeria et du Togo que l’idée sera relancée et mènera à la signature du traité de Lagos 1. Les protocoles établissant la CEDEAO ont été signés à Lomé (Togo) le 5 novembre 1976. Un traité revu pour accélérer l’intégration économique et pour augmenter la coopération politique a été signé en juillet 1993. A l’origine, le traité de Lagos est signé par neuf Etats francophones, cinq anglophones et un

principal soutien. Les pays africains qui reconnaissent T ont un poids économique et une influence limités. La Chine joue un attrait de puissant protecteur – exigeants que les pays occidentaux sur les normes démocratiques et sur l’usage des crédits accordés. L’Af a un rôle de soutien de la politique étrangère chinoise et les revendications maritimes en mer de chine qu’elle établie. Les pays africains comptent sur elle afin de commencer l’influence des EU et de la France mais aussi pour mettre fin

pôles, sont contre : USA car ancienne colo et pour libre échange et nouveaux partenaires, et URSS pour libération des peuples et Etats satellites. 2. Le contexte international est favorable à la décolo. 3e point de la Charte de l’Atlantique en 1941 accorde à chaque peuple le droit de choisir son gvnt. De même, la charte de l’ONU en 45 et la DUHC en 48 insistent sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. De plus, les deux Grands URSS et USA sont hostiles à la colonisation. Cependant, les métropoles

des ambitions commerciales à peine voilées [volonté d’avoir de nouveaux débouchés commerciaux]). - L’ONU qui proclame dans sa charte le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. - La Ligue arabe (1945) qui fait pression sur la France pour qu’elle accorde l’indépendance à l’Afrique du Nord. Or cette ligue arabe fournisse la majorité du pétrole importé. - Tous les Etats nouvellement indépendants. Difficile alors de donner une image de prestige quand un pays est autant critiqué voire isolé et donc affaibli

s’agit alors de la microstructure ou de la structure profonde. 1- La macrostructure 1.1- La maquette de couverture Journal d’une bonne, première oeuvre de Dissirama Boutora-Takpa, est parue aux éditions Haho, de format 19 sur 12 cm en 2001 à Lomé. La première page de couverture laisse apparaître dans sa forme matérielle, une jeune personne aux cheveux noirs dessinés sur fond blanc. Sur la même page est écrit en gros caractère et en rouge «Journal d’une bonne» précédé en haut de: Dissirama

tous temps et toutes circonstances, l'intégrité du territoire, la protection de la population et la préservation des intérêts nationaux contre tous types de menaces et d'agressions. Elles participent également au respect des alliances, traités et accords internationaux. Ces missions sont probablement à la base même de la notion d'État, si tant est que les communautés primitives se sont à l'origine rassemblées et organisées pour assurer leur sécurité. « La défense ! C’est la première raison d’être

de la GB. Par cette échec la Fr va se rebasé sur l idée euro. Avc le traité CEE on baisse l autorité de l Etat, la Fr va tirer un avantage de la CEE grâce à la PAC. L Europe était en crise depuis la CED, ce nvx projets retourne un nvx dynamisme, accord de Messine. 3 domaines touchés par le traité de Rome : * réalisation d’un marché commun qui se base sur 2 piliers, la libre circu et la libre concu. * L’union douanière suppression des droits de douane entre les 6 états * Politique commune

HUMAINES Option : COMMUNICATION Présenté et soutenu par Sous la direction de M. KALAO Yowoudema M. TATA Kèlèm Padabo Assistant à l’Université de Lomé et de Kara Mars 2012 DEDICACE A tous les membres de ma famille, je dédie ce mémoire. REMERCIEMENTS Avec une infinie gratitude, nous remercions toutes les personnes qui nous ont soutenu, aussi bien matériellement

| 2 – L’Union et le reste du monde ➢ Document 5 p 111 : A/ Pourquoi l’Union européenne contribue-t-elle à l’aide au développement ? B/ Quels sont les pays bénéficiaires ? Zone ACP, convention de Cotonou/Lomé Résumé La politique d'aide européenne aux pays en développement se concentrait, jusqu'à la fin des années soixante, sur les pays liés à l'Europe par la colonisation. Dès la naissance du Marché commun en 1957, les anciennes colonies de la France

(développement d’infrastructures sociales, accélération de l’industrialisation, stabilisation des prix, accords d’intégration économique); les accords de Lomé ouvrent le marché européen à un certain nombre de pays ACP et mettent en place un système d’aide financière sous la forme de dons du Fonds Européen de Développement (FED) et de prêts de la BEI (Banque Européenne d’Investissement). Ces accords prévoient une garantie globale des recettes d’exportation des PED, un libre accès au marché communautaire