Accords De Munich

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Nadège Ogay Page 3 sur 31 1 Introduction En octobre dernier, Munich envisageait de renommer sa rue et sa place Richard Wagner en raison de ses opinions idéologiques ou politiques controversées. L’objectif de la ville est d’éliminer toute personnalité dont l’histoire est reliée au nazisme. En effet, ce chef d’orchestre

passable.[réf. souhaitée]. Quand son père s'installe à Londres, il visite l'Europe, en particulier l'Allemagne nazie, et profite d'un « nègre »3 pour rédiger son mémoire de fin d'études sur Neville Chamberlain et la participation britannique aux accords de Munich. Son mémoire est reçu avec mention et grâce au soutien financier de son père, est publié avec une introduction de Henry Luce, sous le titre Pourquoi l'Angleterre dormait. À 23 ans, Kennedy est ainsi l'auteur d'un relatif succès de librairie qui

militaire dans l'armée austro-hongroise, Hitler s'installe à Munich en 1913. Lorsque éclate la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée bavaroise; ayant été blessé à deux reprises, il finit la guerre avec le grade de caporal, et est décoré de la croix de fer de première classe. Traumatisé par la défaite, il rejoint le dépôt de son régiment alors aux mains d'un conseil de soldats (novembre 1918). En avril 1919, il assiste à Munich à la proclamation de la république des conseils de Bavière

petit il adhère à un petit partie (le NSDAP ) tandis que l’Allemagne signe l’Armistice(11/11/18) . De 1923-1924 la crise économique explose les prix augmentent, c’est l’hyperinflation pendant ce temps Hitler participe a un coup d’état qu’il rate à Munich c’est en prison qu’il écrit son livre (Mon combat). En 1929 la crise américaine crée la faillite du pays c’est alors que Hitler est nommé chef du parti Nazi, il promet de combattre la crise et les communistes. Puis en 1932 le maréchal Hindenburg

travailleurs, ouvriers, mineurs, employés des grands magasins, des banques et des bureaux. c) Les réformes sociales : Le gouvernement Blum engage des réformes importantes, il signe dès le 7 juin avec les syndicats ouvriers comme la CGT, et le patronat les accords de Matignon qui prévoient le droit syndical dans les entreprises et une augmentation des salaires de 7 à 15%. D’importantes lois sociales sont ensuite votées comme la semaine de travail de 40 heures et deux semaines de congés payés. La loi sur les

radicaux pour créer un « rassemblement populaire pour le pain, la paix et la liberté » nommé aussi Front populaire, qui se présente comme une alternative aux Ligues victoire aux législatives d’avril mai 1936  Léon Blum nommé pdt du conseil  grèves  accords Matignon les 6-7 juin 1936 embellie de courte durée  dégradation financière + baisse du pouvoir d’achat  agitation sociale + affaiblissement du pays (fuite des capitaux)  déclin et décadence de la F à cause de ce gvt selon la droite et la bourgeoisie

le futur homme de Munich, devient ministre de la Défense et Roger Salengro est ministre de l’Intérieur. Les communistes ne sont pas présents dans le gouvernement malgré leur soutien. Il y a trois femmes dans le gouvernement dont Irène Joliot Curie et des nouveaux secrétaires d’Etat comme celui des loisirs dirigé par Léo Lagrange(ministère de la paresse selon l’extrême-droite). Ce gouvernement est très créatif : 80 projets en 80 jours. B) L’œuvre du Front Populaire. 1° Les accords Matignon Signé

communistes et radicaux signent un accord électoral de Front populaire et gagnent les élections législatives de 1936. Le socialiste Léon Blum devient président du Conseil, étant immédiatement soumis aux invectives antisémites du vice-président du groupe parlementaire de la Fédération républicaine (droite), Xavier Vallat. Un mouvement massif de grèves, déclenché en juin 1936, aboutit à des négociations arbitrées par le gouvernement, et à la signature des accords de Matignon, qui prévoient une hausse

de l’autorisation préalable avant publication grâce à la loi du 29 Juillet 1881 (liste des choses qu’on peut dire et qu’on ne peut pas (diffamation, discrimination…) Les journaux deviennent alors des titres de presse d’opinion, exprimant leur accord ou leur désaccord avec la III° République. Ils sont à l’origine des scandales qui secouent le régime. Durant la Première Guerre Mondiale, les journaux sont censurés et se contentent de relayer la propagande étatique. LA PRESSE ET L’AFFAIRE

politique intérieure. Avec le succès du Front Populaire et les luttes, le patronat doit reconnaître la CGT et signer les accords de Matignon.  1937 - 1947 :  La deuxième guerre mondiale et les vicissitudes de l'unité  Les clivages au sein de la CGT rebondissent à propos de la guerre civile espagnole, de la pause des réformes décrétée par le gouvernement, des accords de Munich et de l'échec de la grève générale contre les décrets lois. La CGT éclate, certains militants devenant clandestins, d'autres