Aciérie

Eiffel. Titre : La Tour Eiffel Exposition universelle 1887-1889 – Construite en 1889 Localisation : Paris, Champs de Mars en face le Trocadéro. Techniques, matériaux : La Tour Eiffel est principalement faite en acier, fer puddlé provenant des aciéries de Pompey en Lorraine. La Tour Eiffel est formée de fer forgé sous forme de croisillons de 18.038 pièces fixé par 2.500.000 rivets. Genre : C'est une architecture, qui appartient au domaine de l'art de l'espace et au domaine de l'art du visuel

de la production industrielle en 1931 et 1932. Suivant la relance de 1932-1933, le CA va se stabiliser Après la guerre, le groupe CCNM ne fait plus partie des producteurs de fonte et d’acier de premier ordre. L’intérêt de fusionner avec le groupe aciérie de France est d’accéder au marché industriel du Nord de la France, aux ports et aux minerais importés. Millions 900.00 800.00 700.00 600.00 500.00 CA par filière Houilles-Coke Montluçon cesse sa livraison de produits au commerce en 1925

Caractérisez les différents modes de production, donnez un exemple pour chacun. La production en CONTINU : Elle est constante. L'ensemble des opérations est réalisé sans interruption (24 heures sur 24). L'automatisation est très poussée. Exemple : aciéries, fonderies, cimenteries, … La production en DISCONTINU : Elle est séquentielle. Elle se fait par stades successifs et donne lieu à la constitution de stocks et d'en-cours. La production peut-être réalisée dans des ateliers distincts et en séries

agricole où les innovations sont moindres. Dans la sidérurgie apparaissent les fours à oxygène purs en 1937, ce qui permet une baisse du temps nécessaire au processus de fabrication. Puis les fours électriques permettent le développement des mini- acieries qui ont capacité de production importante. Dans la chimie, on constate peu d'innovations. Dans l'agriculture, à part la mise au point des pesticides et des herbicides commencée avant 1945, il n'y a pas vraiment d'innovations majeures. L'amélioration

engendrés par les incendies s’avèrent en revanche très élevés. On estime qu’en France, 2 accidents du travail sur 10 000 ont pour origine un incendie. Toutes les activités sont concernées par les incendies. Les secteurs les plus vulnérables sont : * aciéries, cimenteries, verreries, * commerces et entrepôts, * industrie agroalimentaire, * traitement des déchets, * industries chimiques, * industries du bois. La prévention du risque incendie L’organisation d’une démarche de prévention

récupération des mâchefers et des poussières Les résidus solides de la combustion comprennent des matières minérales, dont 4 000 tonnes de ferrailles, qui sont séparées du reste par un électroaimant. Récupérées, ces ferrailles sont recyclées par les aciéries. Le reste, les mâchefers, sont recyclés dans la confection de voiries. Quant aux poussières récupérées sur les panneaux des filtres à manches, elles sont envoyées dans un Centre d'enfouissement II-Quels avantages trouve-t-on à cette méthode

plus répandu[ii], il se produit par des combustions[iii] incomplètes dues à des installations mal réglées. C’est surtout le cas chez des petites installations. Le CO est aussi présent dans les rejets[iv] de certains procédés industriels comme les aciéries[v] et l’incinération[vi] de déchets[vii] mais surtout dans le gaz d’échappement[viii] des véhicules automobiles. Le dioxyde de carbone[ix] (CO2), un constituant[x] naturel de l’atmosphère, contribue également à la pollution atmosphérique. Le CO2

fondateur de l’URSS. Il pointe du doigt le drapeau communiste, le modèle à suivre. Lénine, vainqueur d’octobre et fondateur de l’URSS. Il pointe du doigt le drapeau communiste, le modèle à suivre. L’industrialisation apparaît en arrière-plan, avec des aciéries, des usines, des constructions, des avions… Staline, dirigeant de l’URSS depuis 1928. Il a le regard tourné vers l’avenir, espérant faire de L’URSS un grand pays. l' « ami » Staline et des gens heureux. Sur cette affiche, on peut apercevoir Lénine

chaque année des terrains sur la mer et formant une immense zone industrielle partagée entre Tokyo au centre, Kawasaki au sudfournit le cinquième de la production industrielle nationa prédominante : raffinerie de pétrole, sidérurgie (hauts-fourneaux, aciéries).Le pouvoir de commandement et de décision de la ville est accru : Tokyo abrite les deux tiers des sièges sociaux, la moitié des étudiants, l financière. Le Grand Tokyo représente toujours un tiers de l'activité industrielle du pays et reste le principal

artisans, commerçants, professions libérales, exploitations agricoles… D’autres sont alimentés en 20 000 volts : grands hôtels, hôpitaux et cliniques, petites et moyennes entreprises… De gros industriels (voies ferrées électrifiées, cimenteries, aciéries électriques, usines d’électrolyse de l’aluminium…) sont alimentés directement par le réseau de transport, avec un niveau de tension adapté à la puissance électrique dont ils ont besoin, à savoir 63 000, 90 000 ou 225 000 volts, voire 400 000 volts