Acre

puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces díhabitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries la puanteur de leurs bains corrosifs, et les abattoirs la puanteur du sang caillé. Les gens puaient la sueur et les vêtements non lavés; leurs bouches puaient les dents

même intersection, cette intersection et toutes les autres au-delà de ce point ne peuvent être comptées, ni celles menant uniquement à un cul-de-sac. Le calcul de la superficie exclut les plans d’eau et les parcs de plus de 2 020 mètres carrés (1/2 acre), les établissements publics, les aéroports, les cours de triage, les pentes dépassant 15 % et les zones non bâtissables selon une loi codifiée ou le système d’évaluation. On ne peut exclure les emprises de rues. Site intercalaire : un site satisfaisant

puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces d'habitation mal aérés puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de cambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries la puanteur de leurs bains corrosifs, et les abattoirs la puanteur du sang caillé. Les gens puaient la sueur et les vêtements non lavés; leur bouche puaient les dents

prise de conscience du bateau ( du poète ), il se retrouve face à ses désillusions (« Or moi »). Ces désillusions sont marquées par un retour à la réalité (« Mais vrai, j’ai trop pleuré ! ») et par un champ lexical du désappointement (« navrantes », « acre amour »). CONCLUSION : C’est dans ce poème que les trois principes de la poésie chez Rimbaud se sont caractérisés. Ces principes sont l’esprit révolutionnaire, l’affranchissement d’un monde qui pour Rimbaud lui est oppressant et pour finir le voyage

Chaque jour j’écris les plus belles tragédies, et larmes ne cessent de couler, O quelle folie !’ Déclama dramatiquement le chétif qui semblait maintenant animé d’un nouveau souffle. - Oreste, c’était déjà assez difficile de te sortir de ta chambre acre d’encre, donc fait au moins un effort de ne pas parler en vers, cela allègerai la conversation. - Que dis-tu ! Il n’y a rien de plus noble que les vers, toute la beauté de l’homme s’y réfère. - Oh, voila qui est précieux. C’est la langue des fous

couleur blanche. En fait, elle décide de mettre fin à ses jours car (...) Sommaire: I) Introduction II) Analyse linéaire III) Conclusion Passage étudié: - Oh ! laisse-moi ! Et elle se coucha tout du long sur son lit. Une saveur âcre qu'elle sentait dans sa bouche la réveilla. Elle entrevit Charles et referma les yeux. Elle s'épiait curieusement, pour discerner si elle ne souffrait pas. Mais non ! rien encore. Elle entendait le battement de la pendule, le bruit du feu, et Charles

des aïeux de la personne qui se trouve dans la machine, et donc aux souvenirs de cet ancêtre7. Dans le passé, le personnage principal évolue en Palestine à l'époque de la troisième croisade. Il parcourt les villes de Damas, Jérusalem, Masyaf et Acre telles qu'elles auraient pu être à cette époque. Le personnage jouable dans cette époque vient d'être déchu de son titre au sein de sa confrérie pour n'avoir pas respecté le Credo de l'Assassin (Assassin's Creed en anglais), trois principes que se

lourdes, le souffle court, et lorsque sa vision devint plus net, il crût se trouver dans un vieux grenier. Des meubles en bois pourri s'agglutinaient sous la poussière, dans un coin, une vieille échelle dépassait d'une trappe sur le sol, et une odeur âcre flottait dans l'air. « Mais qu'est-ce qui t'as pris de passer par le toit ? » Robert sursauta. Derrière lui, un garçon à la carrure impressionnante , au teint halé et aux longues boucles brunes tenait fermement une lampe torche. Ses yeux, légèrement

finalement en éclairant le status du narrateur. Au départ cet incipit nous informe sur le lieu de l’histoire. En effet, l’auteur encre son récit dans un cadre réel comme nous le montre l’utilisation des indices spaciaux réels: “Damas” , “Tripoli” , “Acre” et “Istanbul”. De même il emploie des details “un village”, “la plaine orientale”, “la mer” renvoyant aux indications spaciales, qui permmettent au lecteur de mieux s’integrer dans le recit grace à une ambiance réaliste. Il pousse le lecteur a croire

dans le tonnerre des obus et l’appréhension de la mort. Les poilus préféraient dormir par terre dans la nature, plutôt que sur les matelas des casernes qui exhalaient un relent de vielles urines ou d’excréments échauffés ou bien, que dans la poussière âcre des paillasses ou des planchers. Dormir même en compagnie des rats devenait un immense plaisir. Ils avaient peur, beaucoup parlaient ou criaient durant leur sommeil. Les rats venaient manger la nourriture, et les poux et les parasites étaient un véritable