Acte 1 Scène 4 Andromaque

reconnue de Racine et qui lui a par ailleurs permis de se faire connaître est Andromaque. Publiée en 1667 cette tragédie remporte en effet un succès égal à celui qu’avait eu le Cid écrit trente ans plus tôt par son rival Corneille. Dans cette pièce écrite en alexandrins, Racine s’inspire des légendes du cycle Troyen. L'argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari Hector, tué pendant la guerre de

Etude de texte : Andromaque Situation du texte : Cet acte constitue un nouvel acte de péripéties car on apprend qu’Andromaque semble céder son intention d'épouser Pyrrhus, pour pouvoir obtenir ainsi sa protection pour l'enfant, et, aussitôt après, de se donner la mort, puis Hermione demande a Oreste de prouver son amour et de tuer Pyrrhus. Il nous apprend plusieurs actions tragiques. Composition de l’acte : Hermione est présente dans toutes les scènes, et est le sujet primaire de toutes les

a) acte 1 : scène d’exposition Scène 1 : La première scène remplit les fonctions de l’exposition car elle constitue toutes les informations nécessaires à la compréhension de l’intrigue. En l’absence de narrateur sur scène, l’exposition est prise en charge par les personnages, dont les propos, au-delà de cette fonction, ont un but immédiat lié à la situation présente. Dans la scène 1, Racine fait jouer un personnage principal et son confident : Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre

ACTE I ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V III/ETUDE DES PERSONNAGE PHEDRE HIPPOLYTE ET ARICIE OENONE les exposants THESEE

Fait par Dominique Paradis Remis à Patricia Posadas Dans le cadre du cours 601-101-MQ Écriture et littérature Cégep de Rimouski 13 février 2013 I. Étude du premier personnage: Réplique de Pyrrhus - Acte 1, scène 4, vers 311 au vers 332 Lecture et compréhension 1. Première partie: (Du vers 311 au vers 314) Il avoue avoir été un guerrier et fait du mal. Deuxième partie: (Du vers 315 au vers 322) Pyrrhus compare ses remords à ce qui est arrivé aux Troyens. Troisième partie: (Du

Jean Racine Andromaque - Collection Théâtre - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.inlibroveritas.net Table des matières Andromaque ................................................................................................1 Adresse................................................................................................2 Première préface..................................................................................4 Seconde préface.............

lecture Andromaque, Racine a b c 1. L’action de la pièce se déroule : a) à Rome, après la guerre des Gaules b) en Grèce, après la guerre de Troie c) en Grèce, après la guerre du Péloponnèse 2. Andromaque est la veuve de : a) Patrocle b) Hector c) Achille 3. Son époux est mort : a) au combat, vaincu par Achille b) au combat, vaincu par Pyrrhus c) en se suicidant 4. Pyrrhus est

littéraire Andromaque de Jean Racine Acte 5, scène 1 Andromaque de Jean Racine est une tragédie en cinq actes et en alexandrins (1648 alexandrins). Racine connaît la gloire avec Andromaque. Cette pièce est construite à partir d’une chaîne amoureuse qui entraine plusieurs bouleversements. Oreste aime Hermione, fiancée à Pyrrhus et qui veut lui plaire. Pyrrhus aime Andromaque, qui elle-même aime encore son mari Hector mort pendant la guerre de Troie. Nous allons commenter la première scène de l’acte

qu'elle a conservée. Thésée bannit Hippolyte et prie Neptune, dieu de la mer, de le venger. Phèdre veut le faire changer d’avis mais elle apprend qu’Hippolyte aime Aricie. Furieuse d’avoir une rivale, elle renonce à le défendre. I/ La Vie de l’auteur 1. Biographie de Jean Racine (1639-1699) Racine est né le 22 décembre 1639 à La Ferté-Milon (en Picardie). Issu d’une famille modeste, très tôt orphelin, Racine est recueilli par sa grand-mère. C’est elle qui le fait admettre au couvent janséniste de

La frustration spectaculaire : Andromaque de Racine François LECERCLE Université de Paris-Sorbonne (CRLC) Autant le théâtre élisabéthain est riche en violence en tout genre, autant le théâtre classique est pauvre car le sang est proscrit de la scène. Non que l’interdit soit explicite : c’est une loi non écrite, qui ne répond pas tant à une censure morale qu’à un besoin de vraisemblance1. Cela ne signifie pas pour autant que la violence – et même dans sa version la plus sanglante – ne puisse être