Acte 2 Scène 2 Britannicus

La liste des écrivains qui apparaissent sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. Michel de Montaigne 2. Jean-Baptiste Poquelin dit Molière 3. Madame de Sévigné 4. Voltaire 5. Denis Diderot 6. Jean-Jacques Rousseau 7. François-René de Chateaubriand 8. Honoré de Balzac 9. Victor Hugo 10. Charles Baudelaire 11. George Sand 12. Arthur Rimbaud 13. Marcel Proust 14. Albert Camus 15. Nathalie Sarraute 16. Jean-Paul Sartre 17. Marguerite Duras 18. Patrick Modiano

3 § 2 : Le droit est une science pratique. 3 SECTION 2 : Deuxième observation : droit et société. 3 § 1 : Première remarque avec Aristote. 3 § 2 : Définition du droit. 4 SECTION 3 : Le premier essai de conceptualisation du droit. 4 PARTIE 1 : INTRODUCTION HISTORIQUE A L’ETUDE DU DROIT PUBLIC 5 SECTION 1 : La philosophie de Maurice Hauriou. 5 SECTION 2 : La méthode d’Hauriou. 6 § 1 : Le recours à la pensée classique. 6 § 2 : Définition

si étrange et rapide, et faire ainsi les sauts les plus grands sans que s’y mêle jamais une fausse note ni qu’un mouvement si vif ne déforme le corps.”2 Ce dont nous parle ici Scheibe, c’est bien de l’Actio, le cinquième et dernier chapitre de la Rhétorique. Il aborde ensuite des éléments relatifs à l’Inventio et à la Decoratio, les chapitres 1 et 2. “Ce grand homme ferait l’admiration de nations entières s’il avait plus d’agrément, s’il ne retirait pas à ses oeuvres le naturel par leur emphase et

d'une tour d'ivoire ; il n'a pas le droit de se contenter de la cultiver dans un jardin intime et de l'y "retenir" à l'abri du monde. Sa dimension sociale est fondamentale : "Qui sages est nel deit celer, Mais pur ceo deit son sen monstrer" (v. 1-2). "Por ce ne voil mon sen taisir, Ma sapience retenir" (v. 9-10). Benoit de Sainte-Maure reprend ce qui est un lieu commun des plus vivaves dans le prologue  de son Roman de Troie : "Salemon nos enseigne e dit [...] Que nus ne deit son sen celer

| |[masquer] | |1 Biographie | |2 Œuvres principales | |2.1 Défense et illustration de la langue française | |2.2 L'Olive

graphie entre les originaux et ladite édition, qui nous avertit que « Les graphies ont été modernisées lorsque ce sont graphies de l’époque: les finales en -ége (siége), les pluriels en -ns (enfans). De même, asyle (azyle [sic asile? ]), hyver, hazard.» 2 D’autres divergences demeurent, que nous avons mentionnées dans la liste des variantes graphiques et pour lesquelles il est parfois difficile d’indiquer un motif. Après quelque hésitation, nous avons finalement décidé de retourner à l’édition originale

colline du palatin ; ils sont regroupés en ligue latine, le septimontium. C’est l’embryon de confédération regroupant quelques bourgades de bergers. Ce n’est pas la naissance d’une ville unique Roi = seulement chef d’une association de villages épars 2. VII et VIème siècles Société divisée en « gentes », grandes familles liées par la descendance d’un ancêtre commun (chaque famille est placée sous l’autorité d’un chef (pater) et en « clients » (= hommes libres sans ressources se plaçant sous le patronage

Dans cette comparaison entre l'auteur et le pronom de la première personne, on reconnaît la réflexion d'Émile Benveniste sur « La nature des pronoms » (1956), qui eut une grande influence sur la nouvelle critique. L'auteur cède donc le devant de la scène à l'écriture, au texte, ou encore au scripteur, qui n'est jamais qu'un « sujet » au sens grammatical ou linguistique, un être de papier, non une « personne » au sens psychologique : c'est le sujet de l'énonciation, qui ne préexiste pas à son énonciation

efficiemus, aut cum magno labore, saepe etiam cum diffidentia (quae plerumque juvenes avertit) serius ad id perducemus, ad quod leviore via ductus, sine magno labore, et sine ulla diffidentia, maturius perduci potuisset. Gaïus, Institutes, 1, 1, 2. Ces principes ayant été vus de manière générale, nous commencerons à exposer le droit : ainsi on sait qu’on peut l’enseigner dans les meilleures conditions si on commence par en donner une méthode simple et facile avant d’en donner l’explication

du roi, il va parler des petits complots qui se passaient, d’un certain nombre d’évènements. A l’époque et jusqu’au XIX° siècle, les mémoires de St Simon étaient considérées comme des littératures, parce 1° : il y avait de l’esthétique, et 2° : il raconte de son point de vue à lui. Donc, ce qu’il dit n’est pas la réalité, il dit ce qu’il a vu, c’est son regard à lui. Donc, il y a une part de subjectivité (il y a des choses qu’il n’a pas vues). Les mémoires de St - Simon racontent des choses