Acte 3 Scène 3 Tartuffe Tirade

NOM Etablissement/ Structure 1 Mme Fatimata Ibra Sy Professeur de Lettres classiques Inspectrice Enseignement Moyen Secondaire IA/Dakar 2 Mme Tiané Dieng BASAL Professeur de Lettres Conseillère Pédagogique Itinérante CRFPE/Dakar 3 M. Bounama MBENGUE Professeur de Lettres Conseiller Pédagogique Itinérant CRFPE/Dakar 4 M. Saliou THIAM BMSG IA/Pikine-Guédiawaye 5 M. Hamidou DEMBELE Professeur de Lettres Lycée Banque islamique 6 M. Mamadou AW Lycée Keur Massar 7 M. Baïdy

BÉRÉNICE de Jean Racine Mise en scène Jean-Louis Martinelli DOSSIER PÉDAGOGIQUE réalisé par Emanuela Pace Du 13 septembre au 19 novembre 2006 Salle Transformable Hélas ! en guerre avec moi-même, Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n’accomplis jamais. Je veux mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j’aime, Et je fais le mal que je hais. Jean Racine, Cantiques spirituels, 3, 1694 Voici le temps enfin qu’il faut

déclencher le rire. Qui ne se souvient des célèbres répliques de Molière ? Qu’il s’agisse de "Mais qu’allait-il donc faire sur cette galère ?" ou de "Et Tartuffe ?" Nul ne peut résister à ce comique de répétition, outil préféré de nos clowns modernes ("Sans blague !" ou "Qu’est-ce que c’est que ça que c’est ?"). Ionesco a recours à la répétition dans la scène 4 de La Cantatrice chauve, lorsque les Martin scandent chaque réplique qui mène à la reconnaissance par la phrase : ‘Comme c’est bizarre, comme c’est

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

comique de Scarron et de L'Histoire comique de Francion de Charles Sorel. Les Aventures de Monsieur Dassoucy sont inscrites dans la veine burlesque et Dassoucy apparaît au lecteur comme un picarot de ces temps là, que la littérature aimait mettre en scène au XVIIème siècle. La Fortune vient souvent au secours de Dassoucy qui tisse autour d'elle le récit de ses voyages et des différents déboires qui lui arrivent. Il rencontre des nobles pour qu'il chante mais raconte aussi sa confrontation plus violente

poète dans cette petite pièce de théâtre en plusieurs actes où alternent récit et paroles : - premier acte : les ravages de la peste (vers 1-14) ; - deuxième acte : le raisonnement du lion et sa confession (vers 15-33) ; - troisième acte : le plaidoyer du renard et la disculpation de tous les puissants (vers 34-48) ; - quatrième acte : la confession de l’âne ( vers 49-55) ; - cinquième acte : sa condamnation et son exécution (vers 56-62). Il se déroule, comme toujours chez La Fontaine, à travers

poète dans cette petite pièce de théâtre en plusieurs actes où alternent récit et paroles : - premier acte : les ravages de la peste (vers 1-14) ; - deuxième acte : le raisonnement du lion et sa confession (vers 15-33) ; - troisième acte : le plaidoyer du renard et la disculpation de tous les puissants (vers 34-48) ; - quatrième acte : la confession de l’âne ( vers 49-55) ; - cinquième acte : sa condamnation et son exécution (vers 56-62). Il se déroule, comme toujours chez La Fontaine, à

intégrale ou un texte poétique on donne un aperçu général de la trame de l'œuvre. 2. Lecture La lecture doit être expressive. Le candidat doit lire le texte à haute et intelligible voix. Dans le cadre du cours la lecture est nécessairement magistrale. 3. Hypothèse générale II s'agit pour le candidat de proposer une hypothèse de sens à partir de l'analyse du paratexte et de la lecture du texte. L'hypothèse générale est donc constituée de la nature (type) du texte, de la tonalité et de l'idée essentielle

auteur d'un unique roman publié dans sa quarante-deuxième année et de quelques essais sur des problèmes sociaux ou militaires, dont la biographie se déchiffre aussi aisément qu'un bulletin d'état civil et qui, dans Les liaisons dangereuses, a mis en scène des personnages fort éloignés de son expérience quotidienne. D'où la question de savoir s'il n'a pas vraiment utilisé dans son livre une correspondance qui lui serait tombée entre les mains, ou s'il n'a pas transcrit une aventure réellement arrivée