Adieu Mystères

| |« la nature expire » (v.9) | | | | |« la fleur tombe… ses adieux » (29-30).  | | | | |« pour la dernière fois » (v.6) |

annoncées : Automne = déclin, mort de la nature Mort presque désirée par le poète « feuillages jaunissants » (v.2) « derniers beaux jours » (v.3) « le deuil de la nature » (v.3) « soleil pâlissant » (v.7) « la nature expire » (v.9) « la fleur tombe… ses adieux » (29-30).  « pour la dernière fois » (v.6) « prêt à quitter l’horizon de la vie » (v.13) « mon tombeau » (v.18) « un mourant » (v.20) « moi, je meurs » (v.31-32) f) Que trouve le poète dans cette nature qui décline ? La nature est une complice,

qu’il y avaient des échelles cassées. Le chapitre finit par la réussite à retourner à surface des ouvriers de Jean-Bart au milieu des ouvriers de Montsou qui ne cessaient pas de les huer. III Zola revient en arrière pour nous faire découvrir le mystère de tout ce qui venait de se passer avec les ouvriers de Jean-Bart. C’étaient les ouvriers de Montsou qui une fois arrivés à Jean-Bart, comme ils avaient promis à la fin de la quatrième partie, se sentent trahis par Chaval qui leur avait promis la

d'un mari qu'elle déteste et contre lequel sa famille n'est d'aucune aide. Chapitre 10 Piégée, Thérèse veut vérifier si Bernard avait trouvé le poison dans son manteau, mais il est toujours là. Elle songe alors à se suicider. Après avoir fait ses adieux à sa fille, apeurée par la présence d'une vie après la mort, elle se prépare à boire le poison, quand les cris de Balionte, la servante l'arrêtent : elle vient de retrouver la vieille tante Clara morte. A l'enterrement, on soupçonnera Thérèse d'en

scintillait étoilé, Et, sous les mille arceaux du vaste promontoire, Brillait comme à travers une dentelle noire. Ah ! villes de l'enfer, folles dans leurs désirs ! Là, chaque heure inventait de monstrueux plaisirs, Chaque toit recelait quelque mystère immonde, Et, comme un double ulcère, elles souillaient le monde. Tout dormait cependant : au front des deux cités, À peine encor glissaient quelques pâles clartés, Lampes de la débauche, en naissant disparues, Derniers feux des festins oubliés

ailleurs.. Mais pourquoi autant de peine Dans cette vie plus humaine Une vie pleine de rengaine Je ne veux plus de migraine… J’ai envie de partir loin Retrouver un esprit sain Envie de vivre un matin Sans aucun affreux chagrin… Il n’y a pas de mystère Pour arrêter la galère Je dois partir de cet’ terre Pour un meilleur univers… * Depuis que tu es partie, Plus rien ne va ici... Bientôt cinq ans Et je pleure toujours autant... Marchant seule dans le noir, Ayant perdue tout espoir,

l’avait tuée, insinuaient-elles, jalouses, son mariage n’étant que mensonges. Aussi je les ai chassées du palais en lançant sur elles le taon de la folie ; elles habitent la montagne, frappées de délire ; je les ai forcées à porter les insignes de mes mystères orgiaques ; et toute la gent féminine, tout ce qu’il y a de femmes en Cadmée, je les ai entraînées, folles, loin de leurs demeures. Ensemble, mêlées aux filles de Cadmos, sous les verts sapins, elles vivent sans abri, au milieu des rochers. Il faut

soirs de somnolence. Mais le poète, errant sous son massif ennui, Ouvrant chaque fenêtre aux clartés de la nuit, Et se crispant les mains, hagard et solitaire, Imagine soudain, hanté par des remords, Un grand bal solennel tournant dans le mystère, Où ses yeux ont cru voir danser les parents morts. Demain, dès l’aube… Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer

sensible qui vise à une libération de l’imagination et de la langue. Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. C’est vers 1820 qu’apparaît une poésie nouvelle, et c’est

nuit, peur de l'inconnu, mais aussi des rugissements de lions invisibles aux enfants. A l'aube, l'instruction finie, les enfants découvrent de longs fils blancs présentes sur le haut de toutes les cases et se rejoignant au somment d'un fromager. Le mystère de ces rugissement des lions sont révélés par le narrateur,les rugissements des lions n'étaient que le son d'instruments maniés par les accompagnateurs. Chapitre 8 : La douloureuse épreuve de la circoncision Après cette étape effrayante, les