Adieu

au soleil et à la belle nature que jai tant aimé que je dirai Adieu ! à la vie et à vous tous ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m’ont fait du mal où qui ont voulu me faire du mal sauf à celui qui nous à trahis pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendu. Je t’embrasse bien bien fort ainsi que ta sœur et tous les amis qui me connaisse de loin ou de près, je vous serre tous sur mon cœur. Adieu. Ton ami Ton camarade Ton mari Manouchian Michel (djanigt).

officier allemand annonce à ses hôtes son futur départ suite à sa demande d'affectation sur un front combattant. A cette aveu il obtiendra l'unique regard et l'unique mot que lui répondra la nièce de toute leur proximité, un regard chargé de peine et un adieu poignant pour les deux personnages. L'officier refermera la porte derrière lui à tout jamais. Me voici seul, laissant derrière moi un oncle ayant pour habitude de rester dans son fidèle fauteuil et sa nièce plongée dans ses travaux de couture. Je

terre Au font l'intelligence qu'on nous avait donnée N'aura été qu'un beau cadeau empoisonné Car il ne reste que quelques minutes à la vie Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis Je ne peux plus marcher, j'ai peine à respirer Adieu l'humanité... Adieu l'humanité...

sans pli, Du calme enfant qui dort peindrait l’heureux oubli. Dieu n’a pas fait pour nous ce mensonge adorable, Le sourire défaille à la plaie incurable : Cette grâce mêlée à la coupe de fiel, Dieu mourant l’épuisa pour l’emporter au ciel. Adieu, sourire ! Adieu jusque dans l’autre vie, Si l’âme, du passé n’y peut être suivie ! Mais si de la mémoire on ne doit pas guérir, À quoi sert, ô mon âme, à quoi sert de mourir ? Marceline Desbordes-Valmore, Poésies inédites

Thème : L'angoisse Liste des poèmes : Pourquoi le ciel se doit de nous couper de l'aube, Isaac Lerutan La Date, Sybille Rambard Chant du déséspéré, Joachim Du Bellay Le Cauchemar, Jules Delavignes Adieu à la poésie, Louise Ackermann Les corbeaux, Nérée Beauchemin Cauchemar, Paul Verlaine Explosions, Winston Perez Terreur, Guy de Maupassant Justification : Le thème de cette anthologie est l'angoisse. J'ai voulu traiter ce thème avec des poèmes de différentes époques, écrits par

trouver ! Milagro : Mais Tu n’es qu’un S…. ( Milagro le frappe) Ivo : Quoi ? Tu as osé me frappé et m’insulté femme ! Milagro : Oui et je le referai si nécessaire. Adieu c’est moi qui te quitte, je mérite mieux comme mari. Ivo : Je t’interdis de partir ! Seule moi peut te donné l’autorisation de t’en allé. Milagro : Tu rêves ! Adieux Quelques mois plus tard le divorce est prononcé.

d’entrer dans ma cellule Il a fallu me mettre nu Et quelle voix sinistre ulule Guillaume qu’es-tu devenu Le Lazare entrant dans la tombe Au lieu d’en sortir comme il fit Adieu adieu chantante ronde Ô mes années ô jeunes filles II Non je ne me sens plus là Moi-même Je suis le quinze de la Onzième

sourit, puis, battant des paupières, De son pantalon, sortit un revolver. C'est à la tête qu'elle visa le loup, Et Bang! l'étendit raide mort d'un coup. Quelque temps après, dans la forêt, Chaperon Rouge j'ai rencontré. Quelle transformation! Adieu rouge manteau! Adieu ridicule petit chapeau! « Salut! me dit-elle, regarde donc, s'il te plait, Mon manteau en loup, comme il est croquignolet! »

Fiche de lecture : « Adieu, la France » de Christine Clerc Christine Clerc est une journaliste politique française née le 31 octobre 1942 à Lyon. Elle a étudié le droit notamment à la faculté de droits de Sciences Po et aussi à l’École du Louvre. Après cela, elle ira travailler en tant que journaliste à « L’Expresse ». Elle a aussi travaillé « Au point ». Christine Clerc a ensuite travaillé pour plusieurs autres journaux ou en collaboration avec ces derniers pour réaliser des interwiews à des personnalités

14 à 36, le poète montre clairement qu’il lui en veut d’avoir mit fin à leur relation amoureuse. Il exprime sa colère par des phrases exclamatives et des onomataupées tels que : « Ah ! » (Vers 14 et 30), « Partez, partez ! » (Vers 28) ou encore « adieu ! » (Vers 21). Il l’insulte et la critique : « faible femme, orqueilleuse insensée » (Vers 14), lui demande pourquoi as-t-elle rompu et ne comprend pas pourquoi elle l’a quitté : « Pourquoi, grand Dieu ! Mentir à sa pensée ? », « Pourquoi ces pleurs