Adrian Morales

interrompue par l’entrée en scène de son mari et d’un de ses compères qui lui doit de l’argent. Dans une première partie nous verrons pourquoi on peut qualifier cette scène de « théâtrale », puis, dans une deuxième, l’attitude de l’hôte et son revirement moral et enfin nous étudirons la fonction de l’anecdote. I. Une scène théâtrale La présentation du texte est semblable à celle d’un dialogue théâtral avec les noms des personnages avant leurs paroles, désignés par leurs fonctions. Les interventions

intime, parvient-on à pardonner? Il s'agit de puiser dans nos impératifs de conduite, nos règles morales. Mon exigence morale veut le respect d'autrui. L'injustice que l'on dénonce et que l'on ne veut pas oublier, ne doit pas nous rendre injuste. Il ne faut pas que se brouille la distinction entre la victime et le bourreau. On se souvient de l'analyse kantienne de la moralité: est-on sûr de la qualité morale de ses intentions? Pourquoi refuser le pardon? Parce que la faute de l'autre permet d'exprimer

pour effet d’excuser un acte répréhensible une fois que l’actus reus et la mens rea de l’infraction ont été établis. Une conduite involontaire n’est pas en soi une conduite irréprochable. Il y a une différence entre le caractère volontaire au sens moral et le caractère au sens volontaire au sens physique. Le caractère volontaire au sens physique renvoi au principe fondamental qui dit que l’acte doit être volontaire pour engager la responsabilité criminelle : actus reus. Ex : une personne qui a pas

accroit les différences sociales. Et le document 4, article Luxe de l’Encyclopédie de Saint Lambert, qui nous donne les différents avantages que nous apporte le luxe. Dans un premier temps, nous allons voir que le luxe affecte la société au niveau moral. Dans un second temps, il peut avoir de l’influence sur l’économie d’un pays. Et pour finir, il peut aussi avoir un impact sur la politique d’un pays. Dans le document 1, Fénelon fait une critique du luxe. Il le qualifie de « mal presque incurable »

classe il y a beaucoup d’émulation, les élèves cherchent à égaler le prof. Éthique : Un médecin agit selon sa propre éthique quand il doit prendre une décision grave, selon ses principes moraux selon lesquels il se conduit. Rectitude : On l’a choisi pour régler ce délicat problème à cause de sa rectitude morale, il a une qualité de quelqu’un qui est droit et rigoureux. Tempérance : Lorsqu’on que lui doit prendre le volant d’une voiture, il est fortement conseillé d’avoir de la tempérance, de boire

proche du naturalisme philosophique cela se traduit notamment, à lire l’histoire de l’humanité, comme une forme de déperdition. Veblen est proche des sectes protestantes, c’est un certain rigorisme. Le moyen pour remonter la barre chez Platon c’est la morale, chez Veblen c’est aux ingénieurs de redresser la situation. D’autre part il pense qu’il existerait une nature humaine basée sur le doublé instinct-institution. A l’époque aux USA dans le monde universitaire au niveau économique, c’est une époque

devoir de cohabitation des époux qui doivent en principe habiter sous le même toit mais sous quel toit ? B) Le choix de la résidence Pendant longtemps, le choix appartenait au mari, celui ci étant le chef de famille et detenant la prédominance morale et juridique dans le couple. En 1970, une loi a cherché à instaurer une plus grande égalité, en disposant que le choix devait être fait d’un commun accord, cependant elle précisait qu’en cas de désaccord, le choix revenait au mari. C’est la loi du

: Dans le sujet " Etre libre est-ce n'obéir qu'à soi-même ? ", la liberté renvoie à plusieurs domaines: domaine métaphysique (contrainte des lois de la nature) : liberté, volonté ; domaine politique (obéissance aux lois) : Etat, pouvoir ; domaine moral (influence des autres) : autrui. 2 - Analyser les termes secondaires : tout sujet est singulier, c'est-à-dire que, malgré les apparences, il ne se réduit pas à un sujet voisin sur le même thème. Or ce qui donne à un sujet son sens particulier,

À la fin du XXe siècle, émerge la postmodernité, un mouvement conceptuel, dans lequel les écrivains ont une vision pessimiste de notre monde où toutes les valeurs et les idéologies ce sont effondrées, à cette époque où le monde semble être sur le point d’éclater sous les problèmes sociaux, politiques et environnementaux. C’est dans cette époque trouble que Marie Darrieuecq et Thierry Jonquet écriront respectivement Truisme et La Belle et la Bête, deux œuvres bien empreintes du mouvement postmoderne

expériences que nous vivons, afin qu'elles puissent nous servir par la suite, lorsque nous rencontrerons une situation plus au moins comparable à celle qui a déclenché notre réflexion. Ainsi, nos idées contiennent obligatoirement une forme de jugement moral, dans la mesure où elles sont le résultat d'un positionnement qui nous amène à imiter ou à réprouver les comportements que des individus que nous côtoyons. C'est certainement cette réflexion que veut exprimer Roland Faas lorsqu'il affirme : "Les idées