Affaire du conseiller Prince

seigneuriale dont le roi, élu de dieu, est la clé de voute. Le suzerain est le seigneur des seigneurs, les vassaux lui prêtent hommage et fidélité en échange d’un fief, un bien foncier. Le vassal doit : Etre présent à la cour Apporter aide et conseil Service d’Ost Participer à la constitution de la dote de la fille ainée du suzerain Eventuellement participer à la constitution des fonds d’une éventuelle rançon Les grands vassaux exigent de leurs moyens vassaux qui eux exigent des petits

Rois : mêle des affaires politiques, dissout régulièrement chambre, intervient choix ministres = pratiques politique mauvaiseMonarchie = intègre acquis révolutionnaire de 1789 mais toujours inégalités social (conserver privilège) = monarchie renverséeCharte de 1830 n’avait

Moyen Age, les Lombards républicains avaient fait preuve d’une bravoure égale à celle des Français, et ils méritèrent de voir leur ville entièrement rasée par les empereurs d’Allemagne. Depuis qu’ils étaient devenus de fidèles sujets, leur grande affaire était d’imprimer des sonnets sur de petits mouchoirs de taffetas rose quand arrivait le mariage d’une jeune fille appartenant à quelque famille noble ou riche. Deux ou trois ans après cette grande époque de sa vie, cette jeune fille prenait un cavalier

dignitaires, de conseillers, de fonctionnaires, que le roi choisit, convoque et renvoie quand il le veut. Major domus = maire du Palais : Il contrôle les serviteurs du roi et les intendants (qui ont pour tâche de mettre en valeur le domaine royal). Il va accroître son influence au point d’accaparer les fonctions royales. Boni vires = rachimbourgs : Hommes libres que le comte a choisi pour siéger au mallus. Ils sont chargés de dire le droit c’est-à-dire de déterminer pour chaque affaire, la loi

dignitaires, de conseillers, de fonctionnaires, que le roi choisit, convoque et renvoie quand il le veut. Major domus = maire du Palais : Il contrôle les serviteurs du roi et les intendants (qui ont pour tâche de mettre en valeur le domaine royal). Il va accroître son influence au point d’accaparer les fonctions royales. Boni vires = rachimbourgs : Hommes libres que le comte a choisi pour siéger au mallus. Ils sont chargés de dire le droit c’est-à-dire de déterminer pour chaque affaire, la loi

tout de suite l'abdication de Louis-Philippe, et, comme à la place Royale, des applaudissements à peu près unanimes accueillirent la nouvelle. On cria cependant aussi : "Non! pas d'abdication! La déchéance! La déchéance!" J'allais décidément avoir affaire à forte partie. Quand j'annonçai la Régence de la duchesse d'Orléans, ce furent de violentes dénégations : " Non! non! Pas de Régence! A bas les Bourbons! Ni roi, ni reine! Pas de maîtres! Je répétai : "Pas de maîtres! Je n'en veux pas plus que vous

les responsabilités du pouvoir bien qu'il soit entouré de conseillers et de ministres. III. LA MONARCHIE ABSOLUE ET SES LIMITES A/ Les institutions du royaume Le pouvoir absolu du Roi :Le roi assure lui-même la direction des affaires du royaume dans tous les domaines (politique, économique, social et militaire). Il dit la loi par décrets ou ordonnances. Il rend la justice, gouverne et administre le royaume assisté par ses conseillers de gouvernements, de ses ministres et de ses intendants répartis

noirs (et non pas de l'esclavage), qui persiste cependant, et la mise en avant de la neutralité de la Suisse. | | [pic]Participants [modifier] Toute l'Europe monarchique afflue à Vienne. Quinze membres de familles royales côtoient deux cents princes et deux cent seize chefs de missions diplomatiques. De nombreux groupes de pression sont également présents : les représentants des juifs d'Allemagne, les chevaliers de Malte, les abolitionnistes de la Traite des Noirs, sans compter les inventeurs

Rémy va en profiter pour donner sa vision d'un royaume chrétien. Il va faire tendance a 2 courants d l'église le premier courant est incarnée par les évêques francs. Les évêques reprochent à Rémy d'avoir laisser trop de liberté à Clovis dans les affaires religieuses. Ils rappellent que ses évêques n'ont pas de supériorité dans leur sacerdoce, ils n'ont pas a obéir au roi surtout quand mordre va a l'encontre des dogmes religieux. La seconde tendance, celle incarnée par Rémy est celle des évêques proche

qui a donné des rois aux hommes a voulu qu’on les respectât comme ses lieutenants, se réservant à lui seul le droit d’examiner leur conduite. La volonté de Dieu est que quiconque est né sujet obéisse totalement au Roi. Si mauvais que puisse être un prince, la révolte de ses sujets est toujours infiniment criminelle. » « Je résolus (...) de ne point prendre de Premier ministre, rien n’étant plus indigne que de voir d’un côté toutes les fonctions, et de l’autre le seul titre de roi. Il fallait faire