Agamemnon Sénèque

se termine par une évaluation. Le chapitre 1 comporte cinq sous-parties. 6- Observe le texte suivant et réponds aux questions. FAUX La mort d’Iphigénie Pour que les vents soient favorables à l’armée grecque bloquée à Aules, le chef des Grecs, Agamemnon, doit sacrifier sa fille Iphigénie. Clytemnestre, sa femme, et Égisthe, son amant, ne lui pardonneront pas ce sacrifice et l’assassineront à son retour. 1. le héros : Achille, le fiancé d’Iphigénie, qui veut empêcher ce sacrifice. 2. l’Hellade

La liste des principaux personnages de l’Iliade Les Grecs Agamemnon, "protecteur de son peuple", fils d'Atrée, roi de Mycènes et d'Argos, chef de la confédération achéenne. Couramment nommé "Glorieux Atride, roi des guerriers". Ménélas, "le blond", frère d'Agamemnon, roi de Lacédémone. Achille,"aux pieds rapides", fils de Pelée et de la déesse Thétis, roi des Myrmidons. Sa colère, au début du poème, son farouche retrait du combat puis son retour pour venger la mort de son ami Patrocle, sont

Sur les rivages d'Aulis, les Grecs se préparent à aller attaquer Troie. Or les dieux retiennent les vents nécessaires au départ de l'expédition et exigent le sacrifice d'Iphigénie, fille du chef des Grecs Agamemnon. Celui-ci hésite un long moment entre son devoir, son honneur de roi et l’amour de sa fille. Conseillé par Ulysse, il doit se résoudre à faire venir sa fille à Aulis pour la sacrifier. Nous étudierons la scène d’exposition

- Pyrrhus, roi d’Epire et fils du héros Achille. Il se heurte à un refus humain, celui d’Andromaque, contre lequel tout son pouvoir est impuissant. Il est un roi, elle une esclave. Pyrrhus est violent mais sincère. - Oreste, fils du roi grec Agamemnon, ambassadeur des grecs auprès de Pyrrhus. C’est un personnage très bavard et il possède des morceaux de bravoure furieuse, à l’opposé des élégies d’Andromaque. - Andromaque, veuve du troyen Hector tué par Achille. Elle se contente de son sort. Vertueuse

naissance probable du basileus (le roi archaïque) qui dériverait de qa-si-re-u (en linéaire B sur les tablettes mycéniennes) qui se retrouve aussi chez Homère. Chef local dans le monde mycénien peut-être assisté d’un conseil d’ancien/roi type Ulysse ou Agamemnon chez Homère. On observe dans ces petits royaumes l’établissement listes généalogiques qui créent des mythes et qui ont tendance à relier les familles royales à des ancêtres héroïques. Ex : Les Héraclides les « enfants ‘Héraclès qui seraient les ancêtres

Énée et la reine séduite ou contrainte (les avis diffèrent à ce sujet ; chez Homère, elle apparaît surtout comme le jouet d’Aphrodite et regrette d’être cause de la guerre). De retour à Sparte, Ménélas, constatant son infortune, prévient son frère Agamemnon, roi d’Argos, et rassemble les chefs achéens. Tous sont des anciens prétendants d’Hélène, liés par le serment prêté avant que la belle ne choisisse son époux : ils avaient juré d’accepter l’élu et d’en être solidaires s’il devait subir des épreuves

se haïssent autant qu'ils aiment. Par exemple, dans le livre Andromaque, Pyrrhus dit à Andromaque, la personne qu'il désire épouser : « Songez-y bien : il faut désormais que mon cœur, s'il n'aime avec transport, haïsse avec fureur. » Et puis, Agamemnon n'hésite pas à utiliser la violence des passions pour représenter la recherche de la gloire, l'ambition politique. Ainsi, malgré ces passions, les récits donnent à voir la haine, la mort! Pour finir, il y a la violence morale. Dans Andromaque

pendant la quatre-vingtième olympiade, en 458 av. J.-C., sous l'archontat de Philoclès. L'ouvrage, qui est d'une grande et belle unité, retrace la malédiction pesant sur les Atrides, jusqu'à son extinction finale. La première tragédie, Agamemnon, évoque l'assassinat du roi d'Argos, le jour même de son retour de Troie, par sa femme Clytemnestre et son amant Égisthe. Les Choéphores voient s'accomplir la prédiction de Cassandre sur les meurtriers d'Agamemnon ; Oreste, sûr du soutien divin,

Enfers " la maison d'Hadès" qui est le roi des Enfers et des morts. Il a l’occasion de parler au devin Tirésias "Thébain Tirésias devin aveugle mais encore doué de sens", mais aussi à sa mère " alors l'ême survint d'Anticlée, ma mère défunte", à Agamemnon "très glorieux Atrides, Agememnon, roi des guerriers" ce qui lui permet de retourner sur certaines étapes de son passé et qui lui permet de plus une remise en question grave aux personne defuntes a qui il peu parler. Ces « rencontres » lui permettent

relayer la justice divine contradictoire : le discours d'Apollon affronte celui des vieilles Érinyes. Seulement la seule manière de rétablir la paix est de rendre un jugement car Oreste a tué sa mère et Égisthe; parce qu'ils avaient eux-mêmes tué Agamemnon, Oreste à l'exodos des Choéphores dit ces mots au Coryphée: "oui, j'ai tué ma mère, non sans justice, la souillure qui tua mon père […], sans être coupable de crime"; tout s'inscrit donc dans la logique d'un homicide qu'il faut juger pour rétablir