Ah Insensé Qui Croit Que Je Ne Suis Pas Toi

de noyer de la cuisine, et que j'avais fait ma prière et embrassé mon père et ma mère, je repassais en m'endormant ces vers, comme un homme qui vient d'être ballotté par les vagues sent encore, après être descendu à terre, le roulis de la mer, et croit que son lit nage sur les flots. Depuis cette lecture de Mérope, je cherchais toujours de préférence des ouvrages qui contenaient des vers, parmi les volumes oubliés sur la table de mon père ou sur le piano de ma mère, au salon. La Henriade, toute sèche

miroir », autrement dit ce qui reflète l’image des personnes, des choses. Le recueil permettrait au lecteur de se reconnaître, car comme Hugo le dit, toujours dans sa préface : « Hélas ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous », « Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ». Ce recueil comporte une dimension autobiographique permettant au lecteur de s’identifier au « je » lyrique. Enjeux du sujet : En racontant les « mémoires d’une âme », Hugo invite son lecteur à se plonger

soir, des promenades solitaires, de pieux entretiens avec ma vieille tante, et quelquefois un triste Wisk ; devaient être ses seules distractions. Je lui en prépare de plus efficaces. Mon bon ange m’a conduit ici, pour son bonheur et pour le mien. Insensé ! je regrettais vingt-quatre heures que je sacrifiais à des égards d’usage. Combien on me punirait en me forçant de retourner à Paris ! Heureusement il faut être quatre pour jouer au wisk ; et, comme il n’y a ici que le curé du lieu, mon éternelle

soir, des promenades solitaires, de pieux entretiens avec ma vieille tante, et quelquefois un triste Wisth, devaient être ses seules distractions. Je lui en prépare de plus efficaces. Mon bon Ange m'a conduit ici, pour son bonheur et pour le mien. Insensé! je regrettais vingt-quatre heures que je sacrifiais à des égards d'usage. Combien on me punirait, en me forçant de retourner à Paris! Heureusement il faut être quatre pour jouer au Wisth; et comme il n'y a ici que le Curé du lieu, mon éternelle tante

soir, des promenades solitaires, de pieux entretiens avec ma vieille tante, et quelquefois un triste Wisth, devaient être ses seules distractions. Je lui en prépare de plus efficaces. Mon bon Ange m'a conduit ici, pour son bonheur et pour le mien. Insensé! je regrettais vingt−quatre heures que je sacrifiais à des égards d'usage. Combien on me punirait, en me forçant de retourner à Paris! Heureusement il faut être quatre pour jouer au Wisth; et comme il n'y a ici que le Curé du lieu, mon éternelle tante

« La seconde manière de composer des romans est d’en inventer tout le sujet et toutes les circonstances. En quoi les auteurs ne sont pas si coupables contre la vérité que ceux sont nous venons de parler »  doivent savoir plaire et ravir le lecteur. « Ah ! qu’il est malaisé de s’attacher à des fables, quand elles sont mal inventées, quand on n’y rencontre que des harangues pitoyables, que des conversations de coquetterie ou de choses basses ». « La troisième espèce de roman dont j’entends ici parler

figure et dans l’attitude de mademoiselle d’Esgrignon. L’admirable calme de cette tête intérieurement ardente, la dignité des mouvements, la sainteté des devoirs accomplis me touchaient et m’imposaient. Les enfants sont plus pénétrables qu’on ne le croit par les invisibles effets des idées : ils ne se moquent jamais d’une personne vraiment imposante, la véritable grâce les touche, la beauté les attire parce qu’ils sont beaux et qu’il existe des liens mystérieux entre les choses de même nature. Mademoiselle

la froide et stérile lune. Trois fois heureuses, celles qui peuvent maîtriser assez leur sang, pour supporter ce pèlerinage des vierges : mais plus heureuse est sur la terre la rose distillée que celle qui, se flétrissant sur son épine virginale, croît, vit, et meurt dans un bonheur solitaire. HERMIA.-Je veux croître, vivre et mourir comme elle, mon prince, plutôt que de céder ma virginité à l'empire d'un homme dont il me répugne de porter le joug, et dont mon coeur ne consent point à reconnaître

Denise, arbitre du goût vestimentaire pour Paulette) en sera, « elle en riait d’avance. », de voir ces « pimbêches » qu’elle ne fréquente quasi jamais. « Paulette prit une houppe à poudre et la secoua en l’air. Cela fit un petit nuage. Où en «étais-je ? Ah, oui, l’Amiral… Enfin elle était de la meilleure humeur du monde. » Entrée d’un Pierre « blême, nerveux ». « Toute l’histoire de leur ménage lui remonta à la gorge, et il pensa qu’il s’était peut-être trompé sur sa femme de bout en bout. Elle n’était

pathologique à partir du moment où ils sont produits de façon consciente, comme c’est manifestement le cas dans cet exemple extrait de la première scène : Mme SMITH Cependant, la soupe était peut-être trop salée. Elle avait plus de sel que toi. Ah, ah, ah. Le rire atteste ici le fait qu’il s’agit bien d’une syllepse délibérée. On peut aussi l’admettre dans cet échange (scène IX) : LE POMPIER C’est elle qui a éteint mes premiers feux. MARY Je suis son petit jet d’eau. Nettement moins évident