Ah Que De Beaux Couchers De Soleil Ils Eurent

belle tulipe aux pétales vermeils. Etroitement fermés. - C’est une bien jolie fleur ! se dit la jeune femme en déposant un baiser sur les beaux pétales brillants. Aussitôt la fleur s’ouvrit, faisant apparaitre en son cœur, une minuscule fillette .Elle avait un ravissant visage. Avec des cheveux blancs comme les blés et des yeux bleus comme des bluets ! - Ah ! Quel bel enfant ! S’exclama la jeune femme émerveillée. - Mais, elle n’est pas plus grande que la moitié de mon pouce ! S’est égal va 

paroles qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot, m'obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau. Je viens de m'éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : Ah! ce n'est qu'un rêve ! - Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entr'ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles

* CYRANO de BERGERAC est dans sa position définitive, caché derrière sa cape, en léger retrait par rapport au MAITRE DE PHILOSOPHIE, * MAGDELON est bien campée sur ses deux pieds, le regard scrutateur, une main aux yeux comme pour se protéger du soleil, l'autre main sur la hanche, * Le MAITRE DE PHILOSOPHIE est pensif, * Monsieur JOURDAIN repose son poids sur sa canne et regarde droit devant lui, prêt à parler et à marcher, * Le METTEUR EN SCENE (au milieu des quatre "marionnettes" et encore

qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m'obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau. Je viens de m'éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : - Ah ! ce n'est qu'un rêve ! - Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entre ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons

blanches De larges hanches Et d’un ventre et de deux beaux seins Aux fiers dessins, 4 Tout pervertit, tout convertit tous mes desseins, Jusques à votre menterie, Bouche fleurie, Jusques aux pièges mal tendus Tant attendus, De tant d’appas, de tant de charmes. De tant d’alarmes, Tout pervertit, tout avertit mes tristes larmes, Et, chère, ah ! dis : Flûtes et zons À mes chansons Qui vont bramant, tels des cerfs prestes Aux gestes lestes, Ah ! dis donc, Chère : Flûte et zon ! À ma chanson,

mots ont plusieurs sens Oui ils en avaient plusieurs Durant tout le temps passé dans cette pièce, Le vieu parfum de l'obscurité de la maison de poupée Et les contes de fées me maintennaient en haut Sur les nuages qui flottent dans la lumière du soleil Oh oh Mathilda Dis-m'en plus Dis-m'en plus Flamboyant Seul dans les nuages tout bleus Etendu sur un édredon Youpi! tu ne peux pas me voir, Mais moi je peux Paressant dans la rosée brumeuse Assis sur une licorne N 'ai pas peur, tu ne

nous chasserons nbeux... Quand j’étais à la meute……. Quand le ciel s’abat………… Umba, Umba………………... Chants de Marche & de Veillée Adèle………………………….. Adieu Foulard, adieu madras…. Alphabet scout………………… Amitié, liberté…………………. Ani couni……………………… Ah que nos pères……………… Aram Tsam Tsam …………….. Auprès de ma blonde………….. Ayda loulé…………………….. Berceuse Cosaque…………….. Blanche hermine (la)………….. Bohème (la)…………………… Bourgogne (la)………………… Bring Back ……………………. Cantique des Etoiles…………... C’est dans

mes oreilles, de ma vue ou de mon ouïe, la poésie m’est toujours aussi agréable. Pour nombreux d’entre vous, Oh !  Cher lecteur, la poésie est un simple fantasme d’un poète, Oh combien isolé et seul, cherchant vainement l’amour avec de simples mots beaux comme nos chères dames. Je vous dirais que vous n’avez ni raison, ni tort. La simple richesse des vers m’est si douce et instructive que mon nantie existence se résume à la lecture et l’analyse de ces textes sacrés. Un poème est beau même dans l’obscénité

L’HÉAUTONTIMOROUMÉNOS.33 LXXXIV. L’IRRÉMÉDIABLE......................34 LXXXV. L’HORLOGE.................................34 TABLEAUX PARISIENS....................................35 LXXXVI. PAYSAGE.....................................35 LXXXVII. LE SOLEIL..................................35 LXXXVIII. À UNE MENDIANTE ROUSSE .......................................................................35 LXXXIX. LE CYGNE...................................36 XC. LES SEPT VIEILLARDS......................37 XCI

qui se courrouce, Quand j'en étais sevré, Pourtant semble plus douce A mon coeur enivré Que les chansons lointaines Qui tombent des fontaines. Garde ta barbarie, Tes méchants désaveux; Tu ne peux, ma chérie, Empêcher tes cheveux, Où le soleil se mire, De vouloir me sourire! Tes pensives prunelles Ont emprunté des cieux Leurs splendeurs éternelles; Ton front délicieux Prend en vain l'air morose, Ta bouche est toujours rose. Malgré tes forfaitures, Les roses de l'été Ornent