Aisselle

SUPPURATIVES STAPYLOCOCCIES CUTANEOMUQUEUSES Impétigo, onyxis et péri onyxis, furoncle, anthrax, orgelet ; sycosis Abcès sous cutanés chauds ou froids Cellulite ou adénite Hidrosadénite : suppuration traînante des glandes apocrines des aisselles ou des régions péri anales Phlegmons de l’amygdale, sinusites, otites, laryngites et conjonctivites BACTERIEMIES Forme aiguë fulminante Inoculation massive ou foyer important   Évolution foudroyante en 2 à 5 jours Choc septique

Elle porte un fusil, symbole de la lutte du peuple pour la liberté, mais aussi de violence. Elle a la poitrine dénudée, en référence aux Victoires de l’antiquité, aux statues grecques. Ce qui a fait scandale, de même que la forte pilosité de son aisselle, jugée trop vulgaire. C’est la seule femme parmi les hommes. Elle regarde en arrière car elle les entraîne vers la victoire finale. La lumière éclaire son corps à droite. Elle est en action, elle avance vers nous, on le voit à son pied gauche qui

exocrines, holocrines, présentes sur tout le corps Leurs Rôles: Elles sécrètent le sébum qui assouplit et lubrifie poils et peau Diminuent l’évaporation d’eau Inhibent la prolifération bactérienne Les glandes sudoripares : Situées au niveau des aisselles, des auréoles, de la région pubienne Exposées aux infections Aux fonctions mal définies Elles peuvent être eccrines ou apocrines Les glandes sudoripares eccrines : Le canal excréteur débouche directement à la surface de la peau par un pore

tableau reçoit un accueil très mitigé et pas uniquement parce qu'elle bouscule les codes de représentation de l'époque. On lui reproche en premier lieu la vulgarité de son personnage central, cette femme du peuple, disgracieuse (notons la pilosité des aisselles). Mais on critique aussi une certaine glorification de la violence populaire (ce qui n'était sans doute pas le but direct de Delacroix). Cette peinture est considéré symboliquement comme le testament de l'ancien régime et l'avènement du nouveau.

changer d'eau. Ensuite il faut recouvrir la personne avec un drap, laver le bras et la main la plus éloignée, puis le thorax, le bras et la main la plus proche en insistant sous les aisselles, les seins, et le système pileux du thorax. Ensuite, il faut rincer et sécher en tamponnant en insistant au niveau des aisselles et des seins, laver l'abdomen, recouvrir la personne de la veste de pyjama propre ou de la chemise de nuit, changer de gant afin d'éviter une dissémination des germes anaux au niveau

l'apparition de la pilosité sur les jambes, le pubis et sous les aisselles. La fille voit ses seins se développer. Ses hanches se développent, afin de pouvoir accueillir le fœtus, avec quelquefois apparition decellulite. La vulve glisse du devant du corps vers l'entre-jambe. La transpiration de la future femme est équitablement répartie sur tout son corps, avec, comme pour l'homme, une concentration des glandes sudoripares actives sous les aisselles. Le garçon voit des poils apparaître encore sur son visage

lanceur |[pic] | Le lanceur doit lancer la balle dans la direction du frappeur et dans une zone de "strike" délimitée horizontalement par le marbre et verticalement par la région située entre les genoux et les aisselles du batteur. Le lanceur dispose de différents types de lancers. ainsi il peut imprimer à la balle différentes vitesses et trajectoires plus ou moins courbes. Le lanceur a également la possibilité de lancer sur base afin d'éliminer un coureur qui

seulement d’une résonance poétique, éveillée par la magie du secours efficace scellé d’or… 5 10 15 20 25 _____________________ 1 2 3 4 5 6 Pelisse en ventre-de-gris : manteau en fourrure de ventre d’écureuil. Axillaire : qui vient des aisselles. Colette évoque les odeurs de sueur. Bolduc : ruban. Calfatage : traitement des coques des navires avec du goudron pour les rendre étanches. Rebouté : réparé. Éclisse : plaque servant à étayer, c’est-à-dire à soutenir, un membre fracturé. 13FRSEME-LRM1

tableau reçoit un accueil très mitigé et pas uniquement parce qu'elle bouscule les codes de représentation de l'époque. On lui reproche en premier lieu la vulgarité de son personnage central, cette femme du peuple, disgracieuse (notons la pilosité des aisselles). Mais on critique aussi une certaine glorification de la violence populaire (ce qui n'était sans doute pas le but direct de Delacroix). Cette peinture est considéré symboliquement comme le testament de l'ancien régime et l'avènement du nouveau.

parmi les hommes), les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, faisant un avec son bras droit, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme.  La pilosité de son aisselle a été jugée vulgaire, la peau devant être lisse aux yeux des rhétoriciens de la peinture. C’est aussi une Marianne symbole de la république. Son habit jaune, dont la double ceinture flotte au vent, glisse au-dessous des seins et n’est pas sans rappeler